Salut moi s'est Victoire, Victoire Jaydie . Du haut de mes 16 ans je vais au lycée comme tout les gens de mon âge, ou presque . Je ne suis pas vraiment une bonne élève, enfaîte je sais rien parce que je ne me suis jamais intéresser au cours, je n'est donc jamais su si j'était douée ou pas pour sa . Mais sa mais égale . Je suis le genre de fille bien dans sa peau ni trop grosse ni trop maigre, qui cache tout se qu'elle ressens, le genre de fille qui est jalouse, possessive, et capricieuse . Oui je ne sais pas comment les gens font pour me supporter . Je passe souvent mon temps à rêvasser en écoutant de la musique, j'aime sa . Pourtant je ne suis pas d'une nature calme . Sinon, physiquement je suis châtain clair cheveux raide, aux yeux vert . On me dit que je plait pas mal au garçon, pourtant je ne vois pas se que j'ai de si spéciale . Contrairement à beaucoup de fille je ne me trouve ni belle, ni moche . Coté garçon voilà 1 ans tout pile jour pour jour, que je suis avec un mec que j'aime par dessus tout . Autrement j'ai un père peu présent et une mère avec qui je m'engueule souvent . Ha oui j'allais oublier j'ai un chat qui s'appelle Chaussette . Oui chaussette ! Je suis complètement folle de lui, et lui complètement idiot . Un fois il est tomber dans l'aquarium à poisson, alors qu'il faisait son acrobate, plouuuf ... Je vous raconte pas . Sinon, il à une manie vraiment débile il bouffe toutes mes chaussettes . Se qui fait que je me retrouve souvent avec des chaussettes trouées, ou célibataire . Il les caches partout . Mais je l'aime ce chat, je l'aime je sais pas pourquoi mais je l'aime .
Chapitre 1 .
Ecoutez ceci pendant la lecture : http://www.youtube.com/watch?v=Cwkej79U3ek
- Haaaaaaah ! Rooh putain ....
Je lève la tête et pose mon regard sur ma commode ou est posé mon foutu portable qui viens de vibrer . C'est pas possible on peu pas être tranquille et faire la grâce mat' pendant les vacances . A oui j'ai oublier de vous dire, nous somme le 16 juillet, et je viens de me réveillé et il est ... Attend il est quel heure ? Je me précipite sur mon portable un nouvelle fois sans même regarder le message que je viens de recevoir, mais pour regarder l'heure :11h21 ... Et merde ! J'avais complètement oublier Nourdine . Je paris que le message est de lui, et voilà qu'es que j'avais dit .
Premier SMS : Victoire t'est ou mon amour ? ♥ Je t'attend devant chez toi, tu m'a tellement manquer ♥
Deuxième SMS :Victoire ? ♥
Troisième SMS : Victoire qu'es que tu fous ... ?
Quatrième SMS après 10 min d'attente : Putain Victoire, t'abuse là ♥
Je lâche mon portable sur le lit, pour me précipiter dans la salle de bain . Un coup de lotion pour rafraîchir la peau, un coup de mascara et de liner, un coup de brosse, un chouchou et quelque pince plus tard . Je saute dans mon jean délaver et " déchirer ", j'enfile un top corail, une veste en jean délaver et des victoria : Je suis enfin prête.Je descend les escaliers avant de prendre au passage un sac et mon portable.
Dès que j'ouvre la porte j'aperçoit Nourdine assis sur le banc de la rue d'en face, il me regarde . Surement devais t'il fixer la porte depuis un moment . Quand j'ai vu son sourir ... Son putain de sourir . Tout mon monde s'est mit à ralentir, je n'entendais plus rien, je ne voyais plus rien, je ne pensais à rien d'autre que lui . Je me suis mise à courir en traversant la route comme sa sans me préoccuper du reste du monde . Il se leva et me porta vous savez comme dans les film, puis m'embrassa d'une façon que je ne serai d'écrire avec de simples mots . Je peux juste vous dire que c'était magique, il m'avais tellement manqué . En effet cela faisais depuis le début des vacances qu'on ne s'était pas vu, 16 jours exactement .
Pendant le reste de la mâtinée on se balada dans le parc d'à côté, il me chuchotais des mots doux à l'oreille . Tantôt en me tenant par les hanches, ensuite en me chatouillant, puis en me disant que je lui avait énormément manquer . A l'instant ou je vous parle il me disais qu'il m'aimais, il s'apprêtait à m'embrasser une secondes fois, quand mon satané portable nous coupa . Oui encore ce portable à la con, j'aurais du ignorer l'appelle, mais je sentais que je devais répondre . Je ne savais pas pourquoi mais je le savais c'est tout . Je me décida donc à décrocher, à l'autre bout du fil mon père :
- Allô ?
- Victoire, je viens de rentrer à la maison .
- Ha s'est super !
- Oui, d'ailleurs j'ai une bonne nouvelle : On déménage dans une semaine ...
Il continuait mais je ne l'écoutais déjà plus, je me fichais d'où on partait se qui m'importais s'est qu'on allais déménager . J'avais déjà déménager de mon ancienne ville pour venir ici . C'était il y à 2 ans et demi . Je baissa les yeux, les larmes montais mais je ne laissa pas une seconde de plus s' écouler . Je ne voulais pas que Nourdine le sâche . Je repris alors mon portable et lâcha à mon père : " Ha d'accord ! J'arrive " Comme si de rien n'était . Il n'a pas du comprendre pourquoi je lui disais sa . Mais ça m'était égale . Je m'efforce de mentir à Nourdine en lui disant que je devais y aller . Je l'embrassa d'un vite fait, et lui fit un grand sourir . Sourir forcé et totalement faux bien entendue . Je l'entendais me dire : " Attend je te raccompagne .... " Je me dépêcha de me sauver avant qu'il ne remarque que je pleure .
Mon monde à moi venais de s'écrouler, je courais à présent en direction de ma maison . Ma vue se brouillais à cause des larmes, je traversais les routes sans me soucier des voitures .
Quand je fus rentrée chez moi je fonça comme une furie dans ma chambre, m'avachie sur mon lit en balança mon sac . Ma petite soeur pleurait depuis un certain moment . Ma mère devait être partit et mon père devait être occuper, je me décida donc à ma lever pour m'en charger . Oui, j'avais une soeur d'un an à peine nommée Timéa, c'était une petite fille au cheveux blonds et avec de magnifiques yeux verts . Exactement les mêmes que les miens . Je l'aimais énormément, bien plus qu'une simple " petite soeur " pour moi . Je ne quitta pas ma chambre de la journée . Je pensais à Nourdine, je devais le quitter comme ça, sans même savoir si un jour je le reverrais . Je devais également laisser ma meilleure amie Lélia, et tous les autres ...
Je fini par m'endormir à 3 heures du matin .
Le lendemain matin je me réveilla un fois de plus à cause de mon foutu portable . C'était Nourdine .
Ecoutez ceci pendant la lecture : http://www.youtube.com/watch?v=Cwkej79U3ek
- Haaaaaaah ! Rooh putain ....
Je lève la tête et pose mon regard sur ma commode ou est posé mon foutu portable qui viens de vibrer . C'est pas possible on peu pas être tranquille et faire la grâce mat' pendant les vacances . A oui j'ai oublier de vous dire, nous somme le 16 juillet, et je viens de me réveillé et il est ... Attend il est quel heure ? Je me précipite sur mon portable un nouvelle fois sans même regarder le message que je viens de recevoir, mais pour regarder l'heure :11h21 ... Et merde ! J'avais complètement oublier Nourdine . Je paris que le message est de lui, et voilà qu'es que j'avais dit .
Premier SMS : Victoire t'est ou mon amour ? ♥ Je t'attend devant chez toi, tu m'a tellement manquer ♥
Deuxième SMS :Victoire ? ♥
Troisième SMS : Victoire qu'es que tu fous ... ?
Quatrième SMS après 10 min d'attente : Putain Victoire, t'abuse là ♥
Je lâche mon portable sur le lit, pour me précipiter dans la salle de bain . Un coup de lotion pour rafraîchir la peau, un coup de mascara et de liner, un coup de brosse, un chouchou et quelque pince plus tard . Je saute dans mon jean délaver et " déchirer ", j'enfile un top corail, une veste en jean délaver et des victoria : Je suis enfin prête.Je descend les escaliers avant de prendre au passage un sac et mon portable.
Dès que j'ouvre la porte j'aperçoit Nourdine assis sur le banc de la rue d'en face, il me regarde . Surement devais t'il fixer la porte depuis un moment . Quand j'ai vu son sourir ... Son putain de sourir . Tout mon monde s'est mit à ralentir, je n'entendais plus rien, je ne voyais plus rien, je ne pensais à rien d'autre que lui . Je me suis mise à courir en traversant la route comme sa sans me préoccuper du reste du monde . Il se leva et me porta vous savez comme dans les film, puis m'embrassa d'une façon que je ne serai d'écrire avec de simples mots . Je peux juste vous dire que c'était magique, il m'avais tellement manqué . En effet cela faisais depuis le début des vacances qu'on ne s'était pas vu, 16 jours exactement .
Pendant le reste de la mâtinée on se balada dans le parc d'à côté, il me chuchotais des mots doux à l'oreille . Tantôt en me tenant par les hanches, ensuite en me chatouillant, puis en me disant que je lui avait énormément manquer . A l'instant ou je vous parle il me disais qu'il m'aimais, il s'apprêtait à m'embrasser une secondes fois, quand mon satané portable nous coupa . Oui encore ce portable à la con, j'aurais du ignorer l'appelle, mais je sentais que je devais répondre . Je ne savais pas pourquoi mais je le savais c'est tout . Je me décida donc à décrocher, à l'autre bout du fil mon père :
- Allô ?
- Victoire, je viens de rentrer à la maison .
- Ha s'est super !
- Oui, d'ailleurs j'ai une bonne nouvelle : On déménage dans une semaine ...
Il continuait mais je ne l'écoutais déjà plus, je me fichais d'où on partait se qui m'importais s'est qu'on allais déménager . J'avais déjà déménager de mon ancienne ville pour venir ici . C'était il y à 2 ans et demi . Je baissa les yeux, les larmes montais mais je ne laissa pas une seconde de plus s' écouler . Je ne voulais pas que Nourdine le sâche . Je repris alors mon portable et lâcha à mon père : " Ha d'accord ! J'arrive " Comme si de rien n'était . Il n'a pas du comprendre pourquoi je lui disais sa . Mais ça m'était égale . Je m'efforce de mentir à Nourdine en lui disant que je devais y aller . Je l'embrassa d'un vite fait, et lui fit un grand sourir . Sourir forcé et totalement faux bien entendue . Je l'entendais me dire : " Attend je te raccompagne .... " Je me dépêcha de me sauver avant qu'il ne remarque que je pleure .
Mon monde à moi venais de s'écrouler, je courais à présent en direction de ma maison . Ma vue se brouillais à cause des larmes, je traversais les routes sans me soucier des voitures .
Quand je fus rentrée chez moi je fonça comme une furie dans ma chambre, m'avachie sur mon lit en balança mon sac . Ma petite soeur pleurait depuis un certain moment . Ma mère devait être partit et mon père devait être occuper, je me décida donc à ma lever pour m'en charger . Oui, j'avais une soeur d'un an à peine nommée Timéa, c'était une petite fille au cheveux blonds et avec de magnifiques yeux verts . Exactement les mêmes que les miens . Je l'aimais énormément, bien plus qu'une simple " petite soeur " pour moi . Je ne quitta pas ma chambre de la journée . Je pensais à Nourdine, je devais le quitter comme ça, sans même savoir si un jour je le reverrais . Je devais également laisser ma meilleure amie Lélia, et tous les autres ...
Je fini par m'endormir à 3 heures du matin .
Le lendemain matin je me réveilla un fois de plus à cause de mon foutu portable . C'était Nourdine .
Chapitre 2 .
Lissez avec sa : http://www.youtube.com/watch?v=4BAccox7-NM&feature=share
Je décrocha en essayant de prendre la voix la plus normale possible :
Nourdine : Salut mon amour !
Moi : Nourdine !
Nourdine : Tu me manque, mais j'ai pas compris hier . Pourquoi es-tu partie comme sa ?
Moi : Ho non pour rien ne t'inquiète pas . Bon j'ai plein de trucs à faire je te laisse mon coeur .
Nourdine : D'accord je t'a...
Je raccrocha sans même le laisser terminer . En réalité les " trucs à faire " étaient mes valises ... Je partie chercher des cartons dans le garage et j'y mit tout se qui me tombais sous la main . Oui tout . Livres, sacs, boites, peluches, trousses, feuilles, classeurs, stylos, fringues en bordel, cosmétiques, posters, coussins, photos, tirelire ... En faîte je ne faisais pas attention à se que je faisais . Pas du tout même . Je ne voulais pas partir, je ne pouvais pas tout quitter comme ça .
Des larmes coulaient de douleur . J'en avais tellement marre . Je dois vous avouer que à un moment j'ai pensée à fuguer . Oui à fuguer . Mais j'y est vite renoncée, sachant très bien que ça n'aurais servit à rien . J'ai passée un long moment, assise au milieu de ma chambre avec plein de choses à traîner par terre . Je ne bougeais plus, j'était comme figée, le regard vide . La tête baissée sur mon portable . Mon portable était mouillé à cause des larmes qui tombaient dessus . Je réfléchissais à des solutions pour ne pas partir mais je savais très bien que je devais m'y faire .
La journée passée, je me coucha le coeur déchiré .
A présent, il ne me restait plus que 3 jours avant mon départ . Pendant les 2 jours précèdents j'ai continuée mes cartons, en essayant de me faire à l'idée que je devais partir . Je ne pleurais plus, je m'étais ressaisie . En me disant que je devais prendre ça comme un nouveau départ, même si ça serait surement difficile .
Aujourd'hui ma mère avais décidée d'organiser une virée shopping pour me faire oublier tout ça .
- 14h00 -
Ma mère : Victoiiiiiiiire !
Moi : Oui j'arriiiiiive !
Ma mère était surprise de l'enthousiasme avec lequel je descendis les escaliers . Le sourire jusqu'aux oreilles, elle savais très bien que j'adorai les virées shopping, et qu'elle avait réussie à me faire oublier ce foutu déménagement . L'après midi se passa merveilleusement bien ! J'acheta quelques vêtements et quelques paires de chaussures . On alla manger des glaces, boire des cocktails, bref un après-midi de fous, pendant lequel j'ai tout oublier, tout sa grâce à ma maman .♥ Elle est vraiment exceptionnelle, ma mère .
Voilà, un jour de plus d'écoulé . Il ne me restais plus que 2 jours pour annoncer mon départ à Nourdine . Mais je ne savais toujours pas comment le lui dire . Une idée me vint alors à l'esprit, subitement . C'est décider demain, je met mon idée à exécution .
Le lendemain, je me leva d'un bond comme à mon habitude . 1 heure après mettre lever j'était enfin prête, je me décida à envoyer un SMS à Nourdine : Je t'attend après la fontaine vers chez toi .
J'attendais à présent qu'il me donne le " feux vert " . C'est se qui fit quelque minutes après l'envoie de mon message .
J'était en route pour la fontaine . Je ne savais pas exactement se que j'allais lui dire . Je ne savais pas non plus si j'aurais le courage de lui le dire . J'ignorais également sa réaction si il apprenais mon départ . C'était sans doute la dernière fois que je mettrais les pied dans cette rue . Sans doute la dernière fois que je verrais ses magnifiques yeux noisette, ses dents parfaite, sa peau si douce, ses cheveux bruns . La dernier fois aussi que je sentirais sont parfum . La dernier fois que j'entendrais sa voix . Je marchait de plus en plus vite, sans regarder vraiment ou j'allais . Je percuta quelqu'un quand je levis la tête je reconnue Nourdine . Je l'embrassa avec un telle passion il ne du pas comprendre . Ensuite je le serra très fort contre moi . Je sentais son souffle dans mon cou . Je le serrais tellement fort, comme si je voulais m'imprenniez de lui, de son odeur . Il ne disais rien, il se contentais de ma regarder, sans un mot . En baissant la tête je remarqua qu'il avait perdu quelque chose mais je n'arrivai pas à voir quoi . Ma vu était brouiller par les larmes qui montaient . Je leva la tête, le regarda dans les yeux et lui dit :
- Nous deux ses fini .
Je vit son sourire tomber puis il s'exclama :
- Dis moi que tu plaisante, Victoire .
Je le serrais de moins en moins fort, jusqu'à la lâcher et finir par lui dire :
- Je t'est tromper .
Sont regarde devient noir, la colère et la tristesse venais de le gagner . Il me gifla . Je partit en courant avant de ramasser la chose qu'il avait laisser par terre . Je venais de lui mentir, je ne l'avais jamais tromper . J'avais fait sa pour qu'il m'oublie plus vite et qu'il se fasse une raison . A présent il m'en voulais je le savais . Mais je me dit que en lui disant sa, il sera moins triste . Qu'il ne pourra rien regretter puisque la faute était sur moi . Je courus jusqu'à chez moi . Je n'avais plus de maquillage tout avais couler . Je monta dans ma chambre, essuya mes larmes, et fouilla dans ma poche pour retrouver l'objet que Nourdine avait laisser tomber . Je découvrit que c'était un bracelet . Un bracelet tresser d'un façon que je ne serai vous décrire . Je peux juste vous dire qu'il était de couleur grise, et que sont parfum était encore dessus .
Je continua mes valises et mit le bracelet avec tout mes autres souvenirs de Nourdine . Photos, tickets de cinéma, bouts de papiers avec marquer " Je t'aime ", ou encore peluche de la fête foraine ...
Une nuit plus tard, il était tant dis aller . J'avais terminer mes valises et mes cartons, et j'aida mais parents à tout rentrer dans la voiture . Je me rendis une dernière fois dans ma chambre, admirant la vu sur la rue, et à l'autre fenêtre sur notre grand terrain . Je ferma la porte une dernière fois, descendit les escaliers et me rendis dans la voiture ou ma mère Timéa m'attendait, il ne manquait plus que ma mère . Elle se dépêcha de fermer la porter d'entre à clef, et nous rejoignis . La voiture démarra . Au bout d'une heure et demi de route je demanda ou on allait habiter à présent . On me répondis :
- Dans une grande maison à quelque kilomètre d'une plage . La ville s'appelle Eraïblese .
Drôle de nom ... Je me demande à quoi elle ressemble . De toute façon je verrais bien .
- 16h00 -
Timéa dore encore, qu'es qu'elle est mignonne quand elle dort . La voiture s'arrête . Je lève les yeux et je reste scotcher . Devant mes yeux se dressais une magnifique demeure, gigantesque . Magnifiquement belle, devant la maison se trouvait toute sorte de parterre de fleures et d'arbustes fleurie . Quand à l'intérieur, il était propre et lumineux . Je me dirigeais vers la baie du salon, je l'ouvrit et vu un grand terrain . Il fessait un magnifique soleil . Je me projetais déjà dans cette maison . J'était impatiente de voir le reste . Je pris Timéa avec moi, pendant que mes parents aidais les déménageur et installer les meubles, je me dépêcha de monter à l'étage . Je peux vous dire qu'il fois de plus j'était bouche-bée . L'escalier donnait sur une mezzanine, il y avait également deux grandes salles de bains, deux chambres et une autre petite salle . Je ne savais pas à quoi elle pouvais servir . Après réflexion, je pensa qu'elle pourrait servir de salle de jeux pour ma petite soeur .
Je monta au deuxième étage . Une chambre et une salle de bain . Surement le futur étage de mes parents . Après le départ des déménageur et les meubles en place, ma mère me proposa de choisir ma chambre . Je choisie bien sur le deuxième étage à moi toute seule . Le rêve . Pour l'instant c'était plus pratique pour mes parents d'être non loin de ma soeur . Mais je ne comptais pas déménager ma chambre, même un fois Timéa grandit .
-20h00-
- Ma mère : Victoire, à table !
Je descendit aussitôt . Tout le monde était déjà à table, Timéa sur sa chaise haute, et mes parents sur leurs chaises habituelle . Ils m'attendaient . Je me dépêcha donc de les rejoindre .
Nous mangions tranquillement, quand la sonnette nous coupa . Je partit ouvrir sans me poser de question . Quand j'ouvrir la porte je vit une grande dame brune au yeux bleus qui se tenais sur le seuil de la porte, un plat remplie de biscuit encore chaud . Elle avait l'air sympathique et chaleureuse . Elle lâcha avec une joie que je ne serai vous décrire :
Bonjours ! Bienvenue dans le quartier . Je suis votre voisine de droite, la grande maison au volet bordeaux . Je viens vous voir pour vous apporter ses biscuit que je viens de faire en guises de bienvenue . Je pris la plat qu'elle me tendis . Je m'apprêtais à la faire entrer quand une petite fille blonde, tout mimi, arriva en courant . Elle lui lançais des " Maman ! Maman ! On y va ! " En lui tirant sur le bras . Sa mère ma regarda puis s'exclama : Je doit partir . Bonne soirée et bonne appétit . Je la remercia et ferma la porte . J'entendais la mère dire à sa fille : Voyons Alice tu aurais pue attendre un peu . Il n'est pas encore l'heure ! .... Elle continuais à parler mais elle était trop loin, je n'entendais plus . Je rejoignis mes parents à table, et posa le plat .
- Mon père : Qui s'était ?
- Moi : Ho, une voisine qui venais nous souhaiter la bienvenue . Elle nous à offert des biscuit aussi .
- Ma mère : Ho ! Tu la remercier j'espère .
- Moi : Oui, oui ne t'inquiète pas .
On termina de manger, et je passa la première nuit dans ma nouvelle maison . Bien que je me sentais bien dans cette ville pour l'instant, je n'arrivais pas à oublier Nourdine . Avant de ma coucher, je pris la boite qui contenais nos souvenirs . Je fouilla et après de l'acharnement parmi tout le bordel, je retrouva enfin son bracelet . Je venais de remarquer qu'un prénom y était graver . Mais j'avais du mal à voir lequel, se n'était pas clair . Je l'enfila, et me coucha .
Je me réveilla enfin après une longue nuit de sommeil . Je passa dans la salle de bain, et prit une douche histoire de me réveiller un peu . Un coup de mascara et de liner, j'en sortit . Je jeta un coup d'oeil par la grande fenêtre de ma chambre, et je vit un beau ciel bleu, avec un grand soleil . J'enfila donc un sort en jean, une marinière et des converse basse . Avant de descendre manger mon petit déjeuner je passa dans la chambre de Timéa . Elle dormais, je lui fit un bisous, et lui caressa la joue . Quand je fus dans la cuisine ou se trouvait ma mère je lui demanda si je pouvait promener Timéa, elle me donna son accord mais à la condition que je ramènerait le plat à notre voisine . J'accepta .
Timéa était souriante et gazouillait dans mes bras . Elle était adorable . Je sonna à la porte de nos voisin, j'attendis . J'attendis encore et encore . Je décida de mettre Timéa dans sa poussette quand quelqu'un m'ouvrir enfin . C'était une fille, grande mince, belle . Elle passa sa main dans ses cheveux blond et lâcha un " Bonjour " . Je lui répondit et lui expliqua que je venais leur rendre leur plat . Elle me fit entrer et me proposa un coca que j'accepta . Je ne sais pas vraiment combien de temps je suis rester à parler avec elle, mais suffisamment longtemps pour que je savais qu'il fallait que je rentre, ma petit soeur s'agittais dans sa poussette et s'impatientais . Je partit donc .
Arriver chez moi je me précipita dans ma chambre et je rendit sur Facebook . Quelqu'un venais de me parler, j'ouvrir la fenêtre de conversation instantanée sans trop regarder qui était-ce cette personne .
" Je voulait te parler, je me rendit donc chez toi . Mais quand je frappa personne ne répondit, j'attendit encore et encore . Quand je me décida à regarder par la baie de ton salon, il n'y avait plus rien . Je te chercha partout et compris que tu était partit après de longues heures d'attente devant la porte de t'a maison . Tu ne m'a pas tromper . Je ne te crois pas . Tu n'aurais pas fait sa . Victoire je t'aime . Je t'en supplie dit moi pourquoi tu est partit . Dit moi que tu m'aime, que nous deux se n'est pas terminer . Dis moi ou tu est . Victoire s'il te plait ... "
Je lui répondit par un simple :
" Oublie moi . Oublie moi je ne reviendrais pas . Je t'aime, mais nous deux c'est fini . Crois-moi je ne peux pas faire autrement . "
Comment pouvais-je lui dire sa ? J'était un monstre . Je sais à quelque point je lui fait du mal, j'en n'est conscience mais je n'est pas le choix . Je devais l'oublier . Je pris donc un grand sac poubelle et y mit tout les souvenirs que j'avais de lui . Je sortit dehors pied nu, sans veste alors qu'il pleuvait à torrent . Je me mit à courir dans la rue avec mon sac poubelle à la main . Je m'arrêta, épuiser au pied d'un petit sentier border d'arbres . Mes cheveux châtain claire, presque blond était mouiller, je n'avais plus de make up, et ne parlons pas de mes vêtements . Il était d'un un salle état . J'était là . Debout pommé au pied de ce foutu chemin, je pleurait, quand je sentit une main se poser sur mon épaule .
Fin du deuxième chapitre .
J'espère se coup si avoir plus de lecteur qu'il mette leur avis, ou juste qu'il me disent qu'il lisent ma chronique parce que si il y à que 10 ou 15 personnes qui la lisent :/ ... Donc s'il vous plait si vous suivez ma chronique laisser un trace, même si s'est juste un " Je lit t'a chronique " comme sa sa m'encouragera plus parce que la ... x') .
Lissez avec sa : http://www.youtube.com/watch?v=4BAccox7-NM&feature=share
Je décrocha en essayant de prendre la voix la plus normale possible :
Nourdine : Salut mon amour !
Moi : Nourdine !
Nourdine : Tu me manque, mais j'ai pas compris hier . Pourquoi es-tu partie comme sa ?
Moi : Ho non pour rien ne t'inquiète pas . Bon j'ai plein de trucs à faire je te laisse mon coeur .
Nourdine : D'accord je t'a...
Je raccrocha sans même le laisser terminer . En réalité les " trucs à faire " étaient mes valises ... Je partie chercher des cartons dans le garage et j'y mit tout se qui me tombais sous la main . Oui tout . Livres, sacs, boites, peluches, trousses, feuilles, classeurs, stylos, fringues en bordel, cosmétiques, posters, coussins, photos, tirelire ... En faîte je ne faisais pas attention à se que je faisais . Pas du tout même . Je ne voulais pas partir, je ne pouvais pas tout quitter comme ça .
Des larmes coulaient de douleur . J'en avais tellement marre . Je dois vous avouer que à un moment j'ai pensée à fuguer . Oui à fuguer . Mais j'y est vite renoncée, sachant très bien que ça n'aurais servit à rien . J'ai passée un long moment, assise au milieu de ma chambre avec plein de choses à traîner par terre . Je ne bougeais plus, j'était comme figée, le regard vide . La tête baissée sur mon portable . Mon portable était mouillé à cause des larmes qui tombaient dessus . Je réfléchissais à des solutions pour ne pas partir mais je savais très bien que je devais m'y faire .
La journée passée, je me coucha le coeur déchiré .
A présent, il ne me restait plus que 3 jours avant mon départ . Pendant les 2 jours précèdents j'ai continuée mes cartons, en essayant de me faire à l'idée que je devais partir . Je ne pleurais plus, je m'étais ressaisie . En me disant que je devais prendre ça comme un nouveau départ, même si ça serait surement difficile .
Aujourd'hui ma mère avais décidée d'organiser une virée shopping pour me faire oublier tout ça .
- 14h00 -
Ma mère : Victoiiiiiiiire !
Moi : Oui j'arriiiiiive !
Ma mère était surprise de l'enthousiasme avec lequel je descendis les escaliers . Le sourire jusqu'aux oreilles, elle savais très bien que j'adorai les virées shopping, et qu'elle avait réussie à me faire oublier ce foutu déménagement . L'après midi se passa merveilleusement bien ! J'acheta quelques vêtements et quelques paires de chaussures . On alla manger des glaces, boire des cocktails, bref un après-midi de fous, pendant lequel j'ai tout oublier, tout sa grâce à ma maman .♥ Elle est vraiment exceptionnelle, ma mère .
Voilà, un jour de plus d'écoulé . Il ne me restais plus que 2 jours pour annoncer mon départ à Nourdine . Mais je ne savais toujours pas comment le lui dire . Une idée me vint alors à l'esprit, subitement . C'est décider demain, je met mon idée à exécution .
Le lendemain, je me leva d'un bond comme à mon habitude . 1 heure après mettre lever j'était enfin prête, je me décida à envoyer un SMS à Nourdine : Je t'attend après la fontaine vers chez toi .
J'attendais à présent qu'il me donne le " feux vert " . C'est se qui fit quelque minutes après l'envoie de mon message .
J'était en route pour la fontaine . Je ne savais pas exactement se que j'allais lui dire . Je ne savais pas non plus si j'aurais le courage de lui le dire . J'ignorais également sa réaction si il apprenais mon départ . C'était sans doute la dernière fois que je mettrais les pied dans cette rue . Sans doute la dernière fois que je verrais ses magnifiques yeux noisette, ses dents parfaite, sa peau si douce, ses cheveux bruns . La dernier fois aussi que je sentirais sont parfum . La dernier fois que j'entendrais sa voix . Je marchait de plus en plus vite, sans regarder vraiment ou j'allais . Je percuta quelqu'un quand je levis la tête je reconnue Nourdine . Je l'embrassa avec un telle passion il ne du pas comprendre . Ensuite je le serra très fort contre moi . Je sentais son souffle dans mon cou . Je le serrais tellement fort, comme si je voulais m'imprenniez de lui, de son odeur . Il ne disais rien, il se contentais de ma regarder, sans un mot . En baissant la tête je remarqua qu'il avait perdu quelque chose mais je n'arrivai pas à voir quoi . Ma vu était brouiller par les larmes qui montaient . Je leva la tête, le regarda dans les yeux et lui dit :
- Nous deux ses fini .
Je vit son sourire tomber puis il s'exclama :
- Dis moi que tu plaisante, Victoire .
Je le serrais de moins en moins fort, jusqu'à la lâcher et finir par lui dire :
- Je t'est tromper .
Sont regarde devient noir, la colère et la tristesse venais de le gagner . Il me gifla . Je partit en courant avant de ramasser la chose qu'il avait laisser par terre . Je venais de lui mentir, je ne l'avais jamais tromper . J'avais fait sa pour qu'il m'oublie plus vite et qu'il se fasse une raison . A présent il m'en voulais je le savais . Mais je me dit que en lui disant sa, il sera moins triste . Qu'il ne pourra rien regretter puisque la faute était sur moi . Je courus jusqu'à chez moi . Je n'avais plus de maquillage tout avais couler . Je monta dans ma chambre, essuya mes larmes, et fouilla dans ma poche pour retrouver l'objet que Nourdine avait laisser tomber . Je découvrit que c'était un bracelet . Un bracelet tresser d'un façon que je ne serai vous décrire . Je peux juste vous dire qu'il était de couleur grise, et que sont parfum était encore dessus .
Je continua mes valises et mit le bracelet avec tout mes autres souvenirs de Nourdine . Photos, tickets de cinéma, bouts de papiers avec marquer " Je t'aime ", ou encore peluche de la fête foraine ...
Une nuit plus tard, il était tant dis aller . J'avais terminer mes valises et mes cartons, et j'aida mais parents à tout rentrer dans la voiture . Je me rendis une dernière fois dans ma chambre, admirant la vu sur la rue, et à l'autre fenêtre sur notre grand terrain . Je ferma la porte une dernière fois, descendit les escaliers et me rendis dans la voiture ou ma mère Timéa m'attendait, il ne manquait plus que ma mère . Elle se dépêcha de fermer la porter d'entre à clef, et nous rejoignis . La voiture démarra . Au bout d'une heure et demi de route je demanda ou on allait habiter à présent . On me répondis :
- Dans une grande maison à quelque kilomètre d'une plage . La ville s'appelle Eraïblese .
Drôle de nom ... Je me demande à quoi elle ressemble . De toute façon je verrais bien .
- 16h00 -
Timéa dore encore, qu'es qu'elle est mignonne quand elle dort . La voiture s'arrête . Je lève les yeux et je reste scotcher . Devant mes yeux se dressais une magnifique demeure, gigantesque . Magnifiquement belle, devant la maison se trouvait toute sorte de parterre de fleures et d'arbustes fleurie . Quand à l'intérieur, il était propre et lumineux . Je me dirigeais vers la baie du salon, je l'ouvrit et vu un grand terrain . Il fessait un magnifique soleil . Je me projetais déjà dans cette maison . J'était impatiente de voir le reste . Je pris Timéa avec moi, pendant que mes parents aidais les déménageur et installer les meubles, je me dépêcha de monter à l'étage . Je peux vous dire qu'il fois de plus j'était bouche-bée . L'escalier donnait sur une mezzanine, il y avait également deux grandes salles de bains, deux chambres et une autre petite salle . Je ne savais pas à quoi elle pouvais servir . Après réflexion, je pensa qu'elle pourrait servir de salle de jeux pour ma petite soeur .
Je monta au deuxième étage . Une chambre et une salle de bain . Surement le futur étage de mes parents . Après le départ des déménageur et les meubles en place, ma mère me proposa de choisir ma chambre . Je choisie bien sur le deuxième étage à moi toute seule . Le rêve . Pour l'instant c'était plus pratique pour mes parents d'être non loin de ma soeur . Mais je ne comptais pas déménager ma chambre, même un fois Timéa grandit .
-20h00-
- Ma mère : Victoire, à table !
Je descendit aussitôt . Tout le monde était déjà à table, Timéa sur sa chaise haute, et mes parents sur leurs chaises habituelle . Ils m'attendaient . Je me dépêcha donc de les rejoindre .
Nous mangions tranquillement, quand la sonnette nous coupa . Je partit ouvrir sans me poser de question . Quand j'ouvrir la porte je vit une grande dame brune au yeux bleus qui se tenais sur le seuil de la porte, un plat remplie de biscuit encore chaud . Elle avait l'air sympathique et chaleureuse . Elle lâcha avec une joie que je ne serai vous décrire :
Bonjours ! Bienvenue dans le quartier . Je suis votre voisine de droite, la grande maison au volet bordeaux . Je viens vous voir pour vous apporter ses biscuit que je viens de faire en guises de bienvenue . Je pris la plat qu'elle me tendis . Je m'apprêtais à la faire entrer quand une petite fille blonde, tout mimi, arriva en courant . Elle lui lançais des " Maman ! Maman ! On y va ! " En lui tirant sur le bras . Sa mère ma regarda puis s'exclama : Je doit partir . Bonne soirée et bonne appétit . Je la remercia et ferma la porte . J'entendais la mère dire à sa fille : Voyons Alice tu aurais pue attendre un peu . Il n'est pas encore l'heure ! .... Elle continuais à parler mais elle était trop loin, je n'entendais plus . Je rejoignis mes parents à table, et posa le plat .
- Mon père : Qui s'était ?
- Moi : Ho, une voisine qui venais nous souhaiter la bienvenue . Elle nous à offert des biscuit aussi .
- Ma mère : Ho ! Tu la remercier j'espère .
- Moi : Oui, oui ne t'inquiète pas .
On termina de manger, et je passa la première nuit dans ma nouvelle maison . Bien que je me sentais bien dans cette ville pour l'instant, je n'arrivais pas à oublier Nourdine . Avant de ma coucher, je pris la boite qui contenais nos souvenirs . Je fouilla et après de l'acharnement parmi tout le bordel, je retrouva enfin son bracelet . Je venais de remarquer qu'un prénom y était graver . Mais j'avais du mal à voir lequel, se n'était pas clair . Je l'enfila, et me coucha .
Je me réveilla enfin après une longue nuit de sommeil . Je passa dans la salle de bain, et prit une douche histoire de me réveiller un peu . Un coup de mascara et de liner, j'en sortit . Je jeta un coup d'oeil par la grande fenêtre de ma chambre, et je vit un beau ciel bleu, avec un grand soleil . J'enfila donc un sort en jean, une marinière et des converse basse . Avant de descendre manger mon petit déjeuner je passa dans la chambre de Timéa . Elle dormais, je lui fit un bisous, et lui caressa la joue . Quand je fus dans la cuisine ou se trouvait ma mère je lui demanda si je pouvait promener Timéa, elle me donna son accord mais à la condition que je ramènerait le plat à notre voisine . J'accepta .
Timéa était souriante et gazouillait dans mes bras . Elle était adorable . Je sonna à la porte de nos voisin, j'attendis . J'attendis encore et encore . Je décida de mettre Timéa dans sa poussette quand quelqu'un m'ouvrir enfin . C'était une fille, grande mince, belle . Elle passa sa main dans ses cheveux blond et lâcha un " Bonjour " . Je lui répondit et lui expliqua que je venais leur rendre leur plat . Elle me fit entrer et me proposa un coca que j'accepta . Je ne sais pas vraiment combien de temps je suis rester à parler avec elle, mais suffisamment longtemps pour que je savais qu'il fallait que je rentre, ma petit soeur s'agittais dans sa poussette et s'impatientais . Je partit donc .
Arriver chez moi je me précipita dans ma chambre et je rendit sur Facebook . Quelqu'un venais de me parler, j'ouvrir la fenêtre de conversation instantanée sans trop regarder qui était-ce cette personne .
" Je voulait te parler, je me rendit donc chez toi . Mais quand je frappa personne ne répondit, j'attendit encore et encore . Quand je me décida à regarder par la baie de ton salon, il n'y avait plus rien . Je te chercha partout et compris que tu était partit après de longues heures d'attente devant la porte de t'a maison . Tu ne m'a pas tromper . Je ne te crois pas . Tu n'aurais pas fait sa . Victoire je t'aime . Je t'en supplie dit moi pourquoi tu est partit . Dit moi que tu m'aime, que nous deux se n'est pas terminer . Dis moi ou tu est . Victoire s'il te plait ... "
Je lui répondit par un simple :
" Oublie moi . Oublie moi je ne reviendrais pas . Je t'aime, mais nous deux c'est fini . Crois-moi je ne peux pas faire autrement . "
Comment pouvais-je lui dire sa ? J'était un monstre . Je sais à quelque point je lui fait du mal, j'en n'est conscience mais je n'est pas le choix . Je devais l'oublier . Je pris donc un grand sac poubelle et y mit tout les souvenirs que j'avais de lui . Je sortit dehors pied nu, sans veste alors qu'il pleuvait à torrent . Je me mit à courir dans la rue avec mon sac poubelle à la main . Je m'arrêta, épuiser au pied d'un petit sentier border d'arbres . Mes cheveux châtain claire, presque blond était mouiller, je n'avais plus de make up, et ne parlons pas de mes vêtements . Il était d'un un salle état . J'était là . Debout pommé au pied de ce foutu chemin, je pleurait, quand je sentit une main se poser sur mon épaule .
Fin du deuxième chapitre .
J'espère se coup si avoir plus de lecteur qu'il mette leur avis, ou juste qu'il me disent qu'il lisent ma chronique parce que si il y à que 10 ou 15 personnes qui la lisent :/ ... Donc s'il vous plait si vous suivez ma chronique laisser un trace, même si s'est juste un " Je lit t'a chronique " comme sa sa m'encouragera plus parce que la ... x') .
Chapitre 3 .
Ecrit avec cette musique : http://www.youtube.com/watch?v=VM_LXFwKVYE&feature=share
Je me retourna et reconnu, Kim . La fille avec lequel j'ai sympathisé ce matin, chez elle. Elle était aussi mouillée que moi . Sur son visage un sourire se dessinait . Je baissa la tête et retira le bracelet de Nourdine . Kim me prit dans ses bras. Je lui chuchota :
- Pourquoi tu fait sa ?
- Pourquoi je fait quoi ?
- Pourquoi, tu m'aide comme sa.
- Chute, ne dit plus rien. Je sais se que sais, et je veux t'aider.
- Mais
- Chute ...
Ensemble ont pris le chemin pour rentrer, j'ignorai comment elle était au courant . Je l'aimais cette fille, même avant de la connaitre je l'aimais . Je ne savais pas pourquoi mais je le savais s'est tout . Le soir même elle dormis chez moi . J'avais besoin d'oublier, de tout oublier, de prendre un nouveau départ . Et au fond de moi je savais que cette fille m'aiderait à tourner la page . Kim était d'origine canadien, blonde au yeux vert comme sont frère, elle était magnifique . Je ne savais pas grand chose sur elle mais je m'attachais petit à petit à son caractère . On n'a parler de tout et de rien une bonne partie de la soirée, pour finir de s'endormir rattrapées par la fatigue vers 2 heures du matin . Je me réveilla la première, je jouais avec Chaussette en attendant que Kim se réveille . J'en avait marre d'attendre, je pris donc la chaussette que mon chat avait dans la gueule et la balança à la figure de Kim . Elle prit l'oreiller sur lequel sa tête était poser et me le balança . Je rit . Je crois que c'était la première fois depuis que j'habitais ici que je riait de bon coeur .
- 2 semaines plus tard -
Je frappa à la porte de chez Kim . C'est son frère jumeaux qui vint m'ouvrir, il était en boxer . Comme à son habitude il n'ouvrit pas la bouche . Il était toujours comme ça . Je le trouvait assez étrange comme garçon . Mais aujourd'hui il ne réagit pas comme à son habitude . Il lâcha d'abord : Kim n'est pas là .
Puis il m'inspecta de la tête au pied pour s'arrêter au niveau de mon visage . Je resta un long moment planter là, je ne comprenais pas pour il me regardais comme sa . Je décida de briser la silence :
- Bon je vais y aller alors ...
- Nan . Attend, suis moi .
Il me prit par la main et m'entraîna avec lui . Surprise je me laissa faire . Il n'emmena dans sa chambre et me dit de l'attendre . Contrairement à se que je m'attendais sa chambre était à peu près bien ranger . A part une paire de chaussure, 2 ou 3 tee-shirts et quelques cahiers, tout était en ordre . Je me leva de son lit ou j'était assise pour aller voire de plus près son bureau . Je fouillai sans savoir quoi chercher, quand je tombis sur un photo qui m'intrigua . Sur cette photo un garçon et une fille fessaient une bataille d'eau . Je posa la photo et en trouva d'autres avec les même personnes dessus . Un coup il s'embrassais puis après rigolait à plein ventre, écrouler par terre . Et sur l'une d'entre elle il n'y avait pas seulement ce garçon et cette fille mais ce garçon cette fille et une autre fille .
Je fit surprise par le frère de Kim qui revint, un plateau de cocktail à la main . On le voyant j'eu comme un flach-back . Des tonnes images défilaient dans ma tête . Je n'en pouvait plus, je revoyais les trois personnes de la photo partout . Ma tête me faisais terriblement mal . J'entendis un bruit de verre se fracassant contre la sol, et ensuite le troue noir ...
Narrateur Téo ( Frère de Kim ) .
Quand je fus arriver sur le seuil de ma chambre, Victoire avait la tête pencher au dessus de mon bureau, dans sa main elle tenais les photos . Elle ne se rendit pas compte aussitôt que j'était là . Quand elle tournit la tête et me vu, elle resta figer avant de s'écrouler sur le sol . Je l'achat aussitôt le plateau que je tenais et courus vers elle . Je passa ma main dans ses magnifiques cheveux châtains clairs . Elle n'avait pas changée . Elle avait toujours la même odeur, les mêmes cheveux, les mêmes yeux . Elle était tellement belle . J'en n'étais, sur c'était elle . Je pris sa main et lui souffla :
- Victoire ... Victoire !
Elle ne me répondit pas . Quelques minutes après elle était sur le brancard dans un camion de pompiers . J'était avec elle . La tête entre les mains, les larmes coulaient . Mais quel idiot ! C'était de ma faute, je m'en voulait tellement . Je savais qu'elle était fragile, j'aurais du ranger ses photos ... Mais il était trop tard à présent .
Fin du troisième chapitre .
Je sais ce chapitre est cours, mais c'est pour plus de suspense
Ecrit avec cette musique : http://www.youtube.com/watch?v=VM_LXFwKVYE&feature=share
Je me retourna et reconnu, Kim . La fille avec lequel j'ai sympathisé ce matin, chez elle. Elle était aussi mouillée que moi . Sur son visage un sourire se dessinait . Je baissa la tête et retira le bracelet de Nourdine . Kim me prit dans ses bras. Je lui chuchota :
- Pourquoi tu fait sa ?
- Pourquoi je fait quoi ?
- Pourquoi, tu m'aide comme sa.
- Chute, ne dit plus rien. Je sais se que sais, et je veux t'aider.
- Mais
- Chute ...
Ensemble ont pris le chemin pour rentrer, j'ignorai comment elle était au courant . Je l'aimais cette fille, même avant de la connaitre je l'aimais . Je ne savais pas pourquoi mais je le savais s'est tout . Le soir même elle dormis chez moi . J'avais besoin d'oublier, de tout oublier, de prendre un nouveau départ . Et au fond de moi je savais que cette fille m'aiderait à tourner la page . Kim était d'origine canadien, blonde au yeux vert comme sont frère, elle était magnifique . Je ne savais pas grand chose sur elle mais je m'attachais petit à petit à son caractère . On n'a parler de tout et de rien une bonne partie de la soirée, pour finir de s'endormir rattrapées par la fatigue vers 2 heures du matin . Je me réveilla la première, je jouais avec Chaussette en attendant que Kim se réveille . J'en avait marre d'attendre, je pris donc la chaussette que mon chat avait dans la gueule et la balança à la figure de Kim . Elle prit l'oreiller sur lequel sa tête était poser et me le balança . Je rit . Je crois que c'était la première fois depuis que j'habitais ici que je riait de bon coeur .
- 2 semaines plus tard -
Je frappa à la porte de chez Kim . C'est son frère jumeaux qui vint m'ouvrir, il était en boxer . Comme à son habitude il n'ouvrit pas la bouche . Il était toujours comme ça . Je le trouvait assez étrange comme garçon . Mais aujourd'hui il ne réagit pas comme à son habitude . Il lâcha d'abord : Kim n'est pas là .
Puis il m'inspecta de la tête au pied pour s'arrêter au niveau de mon visage . Je resta un long moment planter là, je ne comprenais pas pour il me regardais comme sa . Je décida de briser la silence :
- Bon je vais y aller alors ...
- Nan . Attend, suis moi .
Il me prit par la main et m'entraîna avec lui . Surprise je me laissa faire . Il n'emmena dans sa chambre et me dit de l'attendre . Contrairement à se que je m'attendais sa chambre était à peu près bien ranger . A part une paire de chaussure, 2 ou 3 tee-shirts et quelques cahiers, tout était en ordre . Je me leva de son lit ou j'était assise pour aller voire de plus près son bureau . Je fouillai sans savoir quoi chercher, quand je tombis sur un photo qui m'intrigua . Sur cette photo un garçon et une fille fessaient une bataille d'eau . Je posa la photo et en trouva d'autres avec les même personnes dessus . Un coup il s'embrassais puis après rigolait à plein ventre, écrouler par terre . Et sur l'une d'entre elle il n'y avait pas seulement ce garçon et cette fille mais ce garçon cette fille et une autre fille .
Je fit surprise par le frère de Kim qui revint, un plateau de cocktail à la main . On le voyant j'eu comme un flach-back . Des tonnes images défilaient dans ma tête . Je n'en pouvait plus, je revoyais les trois personnes de la photo partout . Ma tête me faisais terriblement mal . J'entendis un bruit de verre se fracassant contre la sol, et ensuite le troue noir ...
Narrateur Téo ( Frère de Kim ) .
Quand je fus arriver sur le seuil de ma chambre, Victoire avait la tête pencher au dessus de mon bureau, dans sa main elle tenais les photos . Elle ne se rendit pas compte aussitôt que j'était là . Quand elle tournit la tête et me vu, elle resta figer avant de s'écrouler sur le sol . Je l'achat aussitôt le plateau que je tenais et courus vers elle . Je passa ma main dans ses magnifiques cheveux châtains clairs . Elle n'avait pas changée . Elle avait toujours la même odeur, les mêmes cheveux, les mêmes yeux . Elle était tellement belle . J'en n'étais, sur c'était elle . Je pris sa main et lui souffla :
- Victoire ... Victoire !
Elle ne me répondit pas . Quelques minutes après elle était sur le brancard dans un camion de pompiers . J'était avec elle . La tête entre les mains, les larmes coulaient . Mais quel idiot ! C'était de ma faute, je m'en voulait tellement . Je savais qu'elle était fragile, j'aurais du ranger ses photos ... Mais il était trop tard à présent .
Fin du troisième chapitre .
Je sais ce chapitre est cours, mais c'est pour plus de suspense
Chapitre 4 :
Lisez ce chapitre avec cette musique : http://www.youtube.com/watch?v=1zfzka5VwRc&ob=av2e
Narrateur Victoire .
Quand j'ouvris les yeux, je dois vous avouer que je me demandais vraiment ou j'étais . Je voulus m'asseoir quand un mal de crâne me fit retomber sur le lit . J'avais l'impression que ma tête allait exploser . J'entendis un " S'est grave docteur ? " puis une autre voix masculine qui répondait à la question . Je n'arrivais pas à ma concentrer suffisamment pour comprendre tout la conversation . La porte s'ouvrit une femme entra suivie d'un homme . Mes parents . Sur leurs visages je pouvais voir leur inquiétude qu'ils essayaient de cacher . Mais en vain . S'est ma mère qui prit la parole en premier :
- Victoire, il faut qu'on t'explique .
- Je crois aussi .
- Tu est atteinte d'une maladie depuis tes 13 ans . Une maladie qui petit à petit ronge ton corps. Et qui cose d'autres dégâts que je ne serai te décrire .
Ma mère fondit en larmes, mon père continua alors :
- Il y a un peu plus de 2 ans on habitais déjà dans cette ville . Mais on du déménager car il n'y avais pas le matériels nécessaire dans l'hôpital de la ville, pour en savoir plus sur tes malaises fréquents et tes autres problèmes de santé . C'est en fessant les testes qu'on appris . Mais toi tu ne savais rien de se qui s'était passé, ta mémoire avais tout oubliée . On décida alors de ne rien te dire car les médecins nous avais dit que la maladie était juste de passage, et qu'ils t'avaient opérée attend pour la retirer . Mais ils ont aussi dit que l'opération fonctionnaient à 92 %, il y avait donc très peu de chances que la maladie progresse . Et pourtant s'est se qu'elle fit .
Je n'en revenais pas ... Comment avais t'ils pu me cacher sa . Je m'énerva :
- Sortez .
Mon père baissa les yeux et ma mère sortit. J'hurla :
- Dégage !
Je pleurais à présent . Kim entra quelques minutes après, elle vint s'asseoir à coter de moi et me prit dans ses bras. Elle me chuchota à l'oreille :
- Je suis au courant de tout .
- Quand ?
- Hein ?
- Depuis quand est tu au courant ?
Elle baissa les yeux et continua :
- De depuis plus de 2 ans. Les photos qui tu a vu ...
- Nan .
- Si . C'était nous trois . Toi, moi et Téo . Mais depuis le jour ou tu fis ce malaise qui te plongea dans un coma, et te fit tout oublier, on n'eux aucune nouvelle de toi .
- Mais comment m'a tu reconnu ?
- Tu n'a pas changer .
Je la prit dans mes bras .
Quelque jours plus tard j'était sortit de se foutu hôpital . Il fallait que je parle à Téo . Je me rendis donc chez lui . J'étais au pied de la porte d'entré, mais j'hésitais terriblement . Plein de questions se bousculaient dans ma tête . Je ne l'avais pas revu depuis mon dernier malaise, il n'était pas non plus venu me voir pendant mon séjour à l'hôpital, et Kim ne me donnait plus de nouvelle de lui . J'appréhendais . Comment allais t'il m'accueillir ? Je revoyais les photos que je tenais dans mes mains avant mon malaise . Je m'en souvenais cette fois-çi . Si la fille au cheveux châtains clairs et le garçon brun était lui, alors nous étions ensemble ... Une voix me fis sursauté . Quand je levis la tête la mère de Kim avait ouvert la porte . Elle répéta une deuxième fois, avec un grand sourire :
- Bonjour .
- Euuh bonjour madame Jydie, Téo est là ?
- Appelle moi Sophie . Oui, entre . Je ne t'accompagne pas je crois que tu connais déjà le chemin de sa chambre .
Elle me fit un clin d'oeil, et je monta les escaliers . La porte de sa chambre était entrouverte . J'entra sans même frapper, il était assis sur la chaise de son bureau entrain de regarde les photos qui étaient toujours au même endroit de son bureau . Il ne se retourna qu'après de longue secondes et lâcha :
- Kim t'a expliquer je suis pose ?- Oui, mais pas tout . Elle ne ma pas dit comment s'était entre nous deux . Je pense que s'est à toi de me l'expliquer, non ?
- Si tu a raison ... Tu m'aimais, et je t'aimais . J'ai passé de merveilleux moments avec toi, malheureusement tout à tout oublier . Kim était t'a meilleure amis, et moi ton copain comme tu à du le comprendre .
- Je voudrais qu'on oublie la maladie, et que l'on fasse comme çi elle n'était pas là . D'accord ?
- D'accord .
Je le prit dans mes bras . Il sentait terriblement bon . Il déposa un doux baiser sur mon front et me proposa de passé la journée avec lui et sa soeur jumelle a la plage . J'accepta sans aucunes hésitations .
Arriver chez moi, je balança mon sac par terre pour prendre un sac de plage et y mit une serviette de plage, et une brosse à cheveux . Un coup de mascara sur mes cils, un chignon vite fait, des lunettes de soleil, de la crème solaire. J'enfila un maillot de bain deux pièces en dessous d'une robe bustier . Il était 14h10 il me restais 10 mins . Je décida donc de passer mon temps libre avec Timéa . Je lâcha mon sac dans la mezzanine et fila dans sa chambre . Je la sortit de son parc et me rendit dans la salle de bain . J'ouvris la penderie ou se trouvaient ses vêtements et chercha une tenu d'été, j'en sortis finalement une petit robe toute mimis fleuries, avec son sert tête assortit, ainsi que des petites ballerines de couleur rose pâles comme la robe . Je la barbouille de crème solaire, et la passe à ma mère qui a décidée d'aller la promener à la plage .
Merde ! Il est déjà 14h30, et je devais être à 30 à la plage . J'attrapa mon sac, une paire de ballerines, et mon skate pour me rendre le plus vite possible à la plage . Inutile de vous préciser que la skate en robe s'est pas top . Bref j'arrive la dernière bien entendu . Kim me fait la bise, et je fait un bisous sur la joue de Téo .
A peine j'eu le temps de poser mon sac sur le sable chaud, et de profiter du soleil qui tapait fort à présent que Kim s'exclama :
- Le dernier à l'eau est une poule mouiller !
Comme des gamins moi et Téo l'avons suivie . Kim enleva son débardeur et son short pour se retrouvée en maillot de bain en première . Je fit de même suivie par Téo . Comme ce dernier fut le dernier à l'eau il eu droit à un châtiment de ma part et celle de Kim . On passa tout l'après-midi à la plage dans l'eau, ou encore au bar de la plage à boire des cocktail . Cette après-midi m'avais fait un grand bien .
Les journée défilaient mais aucune ne se ressemblait . Je me rapprochais de plus en plus de Kim et Téo . Kim était ma meilleure amie, et Téo mon meilleur amis .
Fin du quatrième chapitre .
Lisez ce chapitre avec cette musique : http://www.youtube.com/watch?v=1zfzka5VwRc&ob=av2e
Narrateur Victoire .
Quand j'ouvris les yeux, je dois vous avouer que je me demandais vraiment ou j'étais . Je voulus m'asseoir quand un mal de crâne me fit retomber sur le lit . J'avais l'impression que ma tête allait exploser . J'entendis un " S'est grave docteur ? " puis une autre voix masculine qui répondait à la question . Je n'arrivais pas à ma concentrer suffisamment pour comprendre tout la conversation . La porte s'ouvrit une femme entra suivie d'un homme . Mes parents . Sur leurs visages je pouvais voir leur inquiétude qu'ils essayaient de cacher . Mais en vain . S'est ma mère qui prit la parole en premier :
- Victoire, il faut qu'on t'explique .
- Je crois aussi .
- Tu est atteinte d'une maladie depuis tes 13 ans . Une maladie qui petit à petit ronge ton corps. Et qui cose d'autres dégâts que je ne serai te décrire .
Ma mère fondit en larmes, mon père continua alors :
- Il y a un peu plus de 2 ans on habitais déjà dans cette ville . Mais on du déménager car il n'y avais pas le matériels nécessaire dans l'hôpital de la ville, pour en savoir plus sur tes malaises fréquents et tes autres problèmes de santé . C'est en fessant les testes qu'on appris . Mais toi tu ne savais rien de se qui s'était passé, ta mémoire avais tout oubliée . On décida alors de ne rien te dire car les médecins nous avais dit que la maladie était juste de passage, et qu'ils t'avaient opérée attend pour la retirer . Mais ils ont aussi dit que l'opération fonctionnaient à 92 %, il y avait donc très peu de chances que la maladie progresse . Et pourtant s'est se qu'elle fit .
Je n'en revenais pas ... Comment avais t'ils pu me cacher sa . Je m'énerva :
- Sortez .
Mon père baissa les yeux et ma mère sortit. J'hurla :
- Dégage !
Je pleurais à présent . Kim entra quelques minutes après, elle vint s'asseoir à coter de moi et me prit dans ses bras. Elle me chuchota à l'oreille :
- Je suis au courant de tout .
- Quand ?
- Hein ?
- Depuis quand est tu au courant ?
Elle baissa les yeux et continua :
- De depuis plus de 2 ans. Les photos qui tu a vu ...
- Nan .
- Si . C'était nous trois . Toi, moi et Téo . Mais depuis le jour ou tu fis ce malaise qui te plongea dans un coma, et te fit tout oublier, on n'eux aucune nouvelle de toi .
- Mais comment m'a tu reconnu ?
- Tu n'a pas changer .
Je la prit dans mes bras .
Quelque jours plus tard j'était sortit de se foutu hôpital . Il fallait que je parle à Téo . Je me rendis donc chez lui . J'étais au pied de la porte d'entré, mais j'hésitais terriblement . Plein de questions se bousculaient dans ma tête . Je ne l'avais pas revu depuis mon dernier malaise, il n'était pas non plus venu me voir pendant mon séjour à l'hôpital, et Kim ne me donnait plus de nouvelle de lui . J'appréhendais . Comment allais t'il m'accueillir ? Je revoyais les photos que je tenais dans mes mains avant mon malaise . Je m'en souvenais cette fois-çi . Si la fille au cheveux châtains clairs et le garçon brun était lui, alors nous étions ensemble ... Une voix me fis sursauté . Quand je levis la tête la mère de Kim avait ouvert la porte . Elle répéta une deuxième fois, avec un grand sourire :
- Bonjour .
- Euuh bonjour madame Jydie, Téo est là ?
- Appelle moi Sophie . Oui, entre . Je ne t'accompagne pas je crois que tu connais déjà le chemin de sa chambre .
Elle me fit un clin d'oeil, et je monta les escaliers . La porte de sa chambre était entrouverte . J'entra sans même frapper, il était assis sur la chaise de son bureau entrain de regarde les photos qui étaient toujours au même endroit de son bureau . Il ne se retourna qu'après de longue secondes et lâcha :
- Kim t'a expliquer je suis pose ?- Oui, mais pas tout . Elle ne ma pas dit comment s'était entre nous deux . Je pense que s'est à toi de me l'expliquer, non ?
- Si tu a raison ... Tu m'aimais, et je t'aimais . J'ai passé de merveilleux moments avec toi, malheureusement tout à tout oublier . Kim était t'a meilleure amis, et moi ton copain comme tu à du le comprendre .
- Je voudrais qu'on oublie la maladie, et que l'on fasse comme çi elle n'était pas là . D'accord ?
- D'accord .
Je le prit dans mes bras . Il sentait terriblement bon . Il déposa un doux baiser sur mon front et me proposa de passé la journée avec lui et sa soeur jumelle a la plage . J'accepta sans aucunes hésitations .
Arriver chez moi, je balança mon sac par terre pour prendre un sac de plage et y mit une serviette de plage, et une brosse à cheveux . Un coup de mascara sur mes cils, un chignon vite fait, des lunettes de soleil, de la crème solaire. J'enfila un maillot de bain deux pièces en dessous d'une robe bustier . Il était 14h10 il me restais 10 mins . Je décida donc de passer mon temps libre avec Timéa . Je lâcha mon sac dans la mezzanine et fila dans sa chambre . Je la sortit de son parc et me rendit dans la salle de bain . J'ouvris la penderie ou se trouvaient ses vêtements et chercha une tenu d'été, j'en sortis finalement une petit robe toute mimis fleuries, avec son sert tête assortit, ainsi que des petites ballerines de couleur rose pâles comme la robe . Je la barbouille de crème solaire, et la passe à ma mère qui a décidée d'aller la promener à la plage .
Merde ! Il est déjà 14h30, et je devais être à 30 à la plage . J'attrapa mon sac, une paire de ballerines, et mon skate pour me rendre le plus vite possible à la plage . Inutile de vous préciser que la skate en robe s'est pas top . Bref j'arrive la dernière bien entendu . Kim me fait la bise, et je fait un bisous sur la joue de Téo .
A peine j'eu le temps de poser mon sac sur le sable chaud, et de profiter du soleil qui tapait fort à présent que Kim s'exclama :
- Le dernier à l'eau est une poule mouiller !
Comme des gamins moi et Téo l'avons suivie . Kim enleva son débardeur et son short pour se retrouvée en maillot de bain en première . Je fit de même suivie par Téo . Comme ce dernier fut le dernier à l'eau il eu droit à un châtiment de ma part et celle de Kim . On passa tout l'après-midi à la plage dans l'eau, ou encore au bar de la plage à boire des cocktail . Cette après-midi m'avais fait un grand bien .
Les journée défilaient mais aucune ne se ressemblait . Je me rapprochais de plus en plus de Kim et Téo . Kim était ma meilleure amie, et Téo mon meilleur amis .
Fin du quatrième chapitre .
Chapitre 5.
Chapitre à lire avec cette musique : http://www.youtube.com/watch?v=j2WWrupMBAE&ob=av2n
- 3 semaines plus tard -
Plus aucunes nouvelles de Téo. Je décide de lui faire une surprise. Je jette un bref coup d'oeil vers la fenêtre. Le ciel est couvert, tans pis. J'enfile un jean, une chemise à carreaux et une paire de van's. J'attrape mon skate en bas de l'escalier, et lance à ma mère :
- J'y vais . A t'alheure.
Je vais le plus vite possible, j'ai hâte de le revoir. Il me manque. Je me dirige vers la rue ou il traîne souvent. Mais il n'y est pas. Je me dirige donc vers une autre rue que je ne connais pas, avec un petit espoir de le trouver. La pluie commence à tomber, merde. Je me dépêche, quand j'aperçois un garçon et une fille. Je crois reconnaître Téo mais la fille j'ignore son identité. Je prend mon skate à la main, et marche en leur direction. C'est bien lui, mais qu'es qui fous avec cette fille ? Il m'en n'a jamais parlé. Ils s'embrassent amoureusement. Je me stoppe net. Morte de jalousie, je rebrousse chemin à toute allure sur mon skate sous cette foutue pluie qui tombe de plus en plus fort. Quelqu'un me courait après, je crois.
- Victoire attend !
Je sentis deux mains se poser sur mes hanches et me ramener vers l'arrière. Je ne sais pas comment il fit mais il réussit à me ramener à quelque centimètre de lui. Je baissa la tête, et essuyant d'un mouvement mes larmes.
- Victoire laisse moi t'expliquer.
- Il n'y à rien à expliquer. Je suis t'a meilleure amie et tu n'es même pas foutu de me dire que tu as une petite amie. Tu connaissais très bien mes sentiments pour toi. Je comprend mieux ton absence maintenant.
- Mais Victoire !
- Nan y'a plus de Victoire, t'entend ! Oublie moi.
Je lui arracha mon skate des mains, laissant tomber malgré moi et sans m'en rendre compte le collier qui lui était destiner. Sur ce collier était graver deux lettres, le V et le T ainsi que " Forever ".
A présent, je roulais à tout allure sur mon skate sous la pluie. Cette fois si Téo ne cherchait plus à me rattraper.
Quand je fus rentrée chez moi, je balança mon skate énervée et monta dans ma chambre. J'étais assise sur mon lit, ma tête me tournait, et mes poumons étaient comme vide. C'était cette foutu maladie. Je fouilla dans mon sac et fis tomber un paquet de cigarettes je ne le ramassa pas, je prit mes médicament et bus une gorgée d'eau pour les avalées. J'allais mieux. je fila dans la salle de bain et me fis couler un bain chaud. J'y resta un bon moment. Puis quand j'en fus enfin sortit mon portable sonna mais une fois arrivé il était trop tard. Je le prit et regarda l'écran qui m'affichais : " Kim, 6 appels manqués ". Quelques minutes après elle rappela mais ce coup ci je décrocha :
- Victoire, tu décroche enfin. Mon frère m'a tout expliqué. Il est fous d'inquiétude pour toi, tu devrais le voir ...
- Ecoute, si s'est pour me parler de sa s'est pas la peine. A plus.
- Non attends !
- Quoi encore ?
- Je sais que t'as besoin de moi.
- Chez moi dans 5 min prend ton pyjama et ton oreiller.
- Sa marche.
Elle raccrocha. Comme prévus 5 minutes plus tard elle sonna à la porte. Je descendis l'escalier pour aller lui ouvrir. Je la prit par la main et l'entraîna avec moi jusqu'à ma chambre. On s'assis par terre en tailleur face à face elle finit par
me lancer avec hésitation :
- T'est sur que tu veux pas m'en parler de se qui s'est passer avec Téo ?
- Humh...
- Raconte moi tout, je t'écoute.
- D'accord. Je n'avais plus de nouvelles, et il me manquait. Je prit alors mon skate et le chercha. Je le trouva avec une pouffiasse. Je repris mon skate et me barra. Il remarqua sans doute que je l'avais vu, il me courut après et ma rattrapa en essayant de se rattraper avec une excuse bidon. Il se fous de ma gueule, il savait très bien que je l'aimais. J'aurais encore pus accepter qu'il ne m'aime pas, mais le faite qu'il me cache qu'il est une copine alors que je suis sa meilleure amie, ma profondément blessée. Mais s'il te plait ne lui parle pas de notre conversation, je ne veux pas qu'il sache.
- Qu'es que tu va faire ? Couper les ponds ?
- Chepa...
- Mais Victoire, tu peux pas faire sa.
- Mais il m'a mentis, et ma cacher des choses alors que moi je lui dit tout. Je lui faisais confiance.
- Parce que là tu va lui dire se que tu pense de lui ?
- Nan ... Mais s'est pas pareil !
- Si, Victoire. C'est pareil.
Elle me prit dans ses bras. Cette fille elle était parfaite, elle trouvait toujours le mots juste. Elle m'aida à me relever, quand elle tomba sur mon paquet de cigarettes que j'avais fait tomber avant mon bain. Elle me dévisagea et s'inquiéta :
- Tu fume ?
Fin du cinquième chapitre.
Bon voilà. J'espère que ce chapitre vous à plus. Comme d'habitude j'attend vos avis.
Chapitre à lire avec cette musique : http://www.youtube.com/watch?v=j2WWrupMBAE&ob=av2n
- 3 semaines plus tard -
Plus aucunes nouvelles de Téo. Je décide de lui faire une surprise. Je jette un bref coup d'oeil vers la fenêtre. Le ciel est couvert, tans pis. J'enfile un jean, une chemise à carreaux et une paire de van's. J'attrape mon skate en bas de l'escalier, et lance à ma mère :
- J'y vais . A t'alheure.
Je vais le plus vite possible, j'ai hâte de le revoir. Il me manque. Je me dirige vers la rue ou il traîne souvent. Mais il n'y est pas. Je me dirige donc vers une autre rue que je ne connais pas, avec un petit espoir de le trouver. La pluie commence à tomber, merde. Je me dépêche, quand j'aperçois un garçon et une fille. Je crois reconnaître Téo mais la fille j'ignore son identité. Je prend mon skate à la main, et marche en leur direction. C'est bien lui, mais qu'es qui fous avec cette fille ? Il m'en n'a jamais parlé. Ils s'embrassent amoureusement. Je me stoppe net. Morte de jalousie, je rebrousse chemin à toute allure sur mon skate sous cette foutue pluie qui tombe de plus en plus fort. Quelqu'un me courait après, je crois.
- Victoire attend !
Je sentis deux mains se poser sur mes hanches et me ramener vers l'arrière. Je ne sais pas comment il fit mais il réussit à me ramener à quelque centimètre de lui. Je baissa la tête, et essuyant d'un mouvement mes larmes.
- Victoire laisse moi t'expliquer.
- Il n'y à rien à expliquer. Je suis t'a meilleure amie et tu n'es même pas foutu de me dire que tu as une petite amie. Tu connaissais très bien mes sentiments pour toi. Je comprend mieux ton absence maintenant.
- Mais Victoire !
- Nan y'a plus de Victoire, t'entend ! Oublie moi.
Je lui arracha mon skate des mains, laissant tomber malgré moi et sans m'en rendre compte le collier qui lui était destiner. Sur ce collier était graver deux lettres, le V et le T ainsi que " Forever ".
A présent, je roulais à tout allure sur mon skate sous la pluie. Cette fois si Téo ne cherchait plus à me rattraper.
Quand je fus rentrée chez moi, je balança mon skate énervée et monta dans ma chambre. J'étais assise sur mon lit, ma tête me tournait, et mes poumons étaient comme vide. C'était cette foutu maladie. Je fouilla dans mon sac et fis tomber un paquet de cigarettes je ne le ramassa pas, je prit mes médicament et bus une gorgée d'eau pour les avalées. J'allais mieux. je fila dans la salle de bain et me fis couler un bain chaud. J'y resta un bon moment. Puis quand j'en fus enfin sortit mon portable sonna mais une fois arrivé il était trop tard. Je le prit et regarda l'écran qui m'affichais : " Kim, 6 appels manqués ". Quelques minutes après elle rappela mais ce coup ci je décrocha :
- Victoire, tu décroche enfin. Mon frère m'a tout expliqué. Il est fous d'inquiétude pour toi, tu devrais le voir ...
- Ecoute, si s'est pour me parler de sa s'est pas la peine. A plus.
- Non attends !
- Quoi encore ?
- Je sais que t'as besoin de moi.
- Chez moi dans 5 min prend ton pyjama et ton oreiller.
- Sa marche.
Elle raccrocha. Comme prévus 5 minutes plus tard elle sonna à la porte. Je descendis l'escalier pour aller lui ouvrir. Je la prit par la main et l'entraîna avec moi jusqu'à ma chambre. On s'assis par terre en tailleur face à face elle finit par
me lancer avec hésitation :
- T'est sur que tu veux pas m'en parler de se qui s'est passer avec Téo ?
- Humh...
- Raconte moi tout, je t'écoute.
- D'accord. Je n'avais plus de nouvelles, et il me manquait. Je prit alors mon skate et le chercha. Je le trouva avec une pouffiasse. Je repris mon skate et me barra. Il remarqua sans doute que je l'avais vu, il me courut après et ma rattrapa en essayant de se rattraper avec une excuse bidon. Il se fous de ma gueule, il savait très bien que je l'aimais. J'aurais encore pus accepter qu'il ne m'aime pas, mais le faite qu'il me cache qu'il est une copine alors que je suis sa meilleure amie, ma profondément blessée. Mais s'il te plait ne lui parle pas de notre conversation, je ne veux pas qu'il sache.
- Qu'es que tu va faire ? Couper les ponds ?
- Chepa...
- Mais Victoire, tu peux pas faire sa.
- Mais il m'a mentis, et ma cacher des choses alors que moi je lui dit tout. Je lui faisais confiance.
- Parce que là tu va lui dire se que tu pense de lui ?
- Nan ... Mais s'est pas pareil !
- Si, Victoire. C'est pareil.
Elle me prit dans ses bras. Cette fille elle était parfaite, elle trouvait toujours le mots juste. Elle m'aida à me relever, quand elle tomba sur mon paquet de cigarettes que j'avais fait tomber avant mon bain. Elle me dévisagea et s'inquiéta :
- Tu fume ?
Fin du cinquième chapitre.
Bon voilà. J'espère que ce chapitre vous à plus. Comme d'habitude j'attend vos avis.
Chapitre 6 :
Le son de ce chapitre : http://www.youtube.com/watch?v=Xn676-fLq7I&ob=av2e
Je ne répondis pas. Elle répéta alors :
- Bordel, Vic' tu fume ?
- Nan
- Ba alors c'est quoi ça ?
- J'ai fait la conne c'est tout, mais tu peux vérifier il en manque aucune. J'en n'aie pas fumée.
- Mouais.. Qui me dit que t'as pas achetée d'autres paquets.
- Mais merde, tu me fait pas confiance ou quoi !
- Si, excuse moi.
Je lui arracha le paquet des mains, et alla le jeter par la fenêtre. Je m'assis sur le rebord de celle-çi et soupira. Le temps était orageux. Dehors il y avait une odeur de pluie, vous savez cette odeur indescriptible qui règne quand en pleine été alors qui y à 5 min il faisait chaud, la pluie se met à tomber à seau, bref l'orage quoi. Je commençais à mouiller. Kim me rejoignit et me souffla :
- Tu m'en veux ?
- Non, ne t'en fait pas.
On finis par se coucher. Le lendemain matin on se prépara et descendit manger le petit déjeuner. Après ce dernier j'entraîna Kim dans la salle " de jeux " ou se trouvait le baby-foot. Sa faisait un moment qu'on y jouaient quand je me stoppa net. Pendant les première secondes Kim me regarda avec des grand yeux. Je la prit par la main, attrapa une veste et une paire de converse et l'emmena hors de la maison.
- Kim, ou je peux trouver ton frère ?
- Euhh... Surement dans sa chambre. Avec se temps de chien, ou veux tu qu'il sois ?
- Ouai t'a raison.
Je me dirigea vers leurs maison. J'hésitais, Kim me fit un clin d'oeil et ouvrit la porte à ma place. Elle entra, je la suivie. Je regrettais, pourquoi j'étais venu ? Qu'es que j'allais lui dire ?
Kim s'assis sur la première marche de l'escalier :
- Va s'y je t'attend.
- Je suis pas sur de vouloir y aller.
- Je sais que t'es morte de trouille, mais mon frère n'a jamais mangé personne tu sais.
- ....
Kim se mit à rire.
- Allez va s'y Victoire.
Je leva la tête pour regarder en haut des escaliers. Téo y était, il me fixait. Il nous avait surement entendu parler, et était venu voir qui s'était. Je monta les escaliers hésitante, mais j'essayais de le cacher. Je le suivie jusqu'à sa chambre. A l'intérieur c'était le KO total. Un bordel atroce, on aurait dit qu'une tempête était passer par là. Il me lâcha :
- Qu'es que tu viens faire içi ?
- J'en sais rien.
Le message était passé, je me retourna et fit demi tour. Il me rattrapa par le bras et me dit :
- Non, attend c'est pas se que je voulais dire.
Je resta dos à lui et le laissa continuer :
- Regarde moi dans les yeux et dit moi que tu ne m'aime pas.
- Tu sais très bien que j'en suis pas capable. Toi, maintenant regarde moi et promet moi que tu ne me mentira plus jamais.
- Promis. Mais je ne t'ai pas mentie. Je ne t'ai jamais mentie.
- Tu te fous de ma gueule ?
- Non !
- Ba alors c'est qui cette pouffiasse d'hier ?
- Cette pouffiasse s'est une fille qui fait tout pour que nous deux sa pète. Et visiblement sa marche. Tu me fait pas confiance ou quoi ?
- Si, excuse moi...
- Victoire, t'est ma meilleure amie, et tu sais que je t'aime.
Il s'approcha doucement de moi, glissa s'est mains autour de mes hanches et posa ses lèvres sur les miennes tout doucement. Puis il me chuchota avec un sourire au coin de lèvres :
- Enfin... Beaucoup plus que meilleure amie.
- Je t'aime.
- Je t'aime aussi Vic'
Il me déposa un baiser sur le front. Je le regarda dans les yeux, et lui dis gênée :
- Dis, tu peux me montrer les photos. Tu sais les photos sur lesquels je suis tombée l'autre jour.
- Humh... Seulement si tu es sur que tu ne vas pas t'évanouir. Je ne veux pas que tu me refasse cette frayeur.
- Promis.
Il me prit par la main et m'entraîna vers une petit placard blanc, il l'ouvris et en sortit un petit boite. On s'assis sur son lit et il l'ouvra sans un mot. Je fixais le boite, j'étais impatiente mais en même temps beaucoup de questions se bousculait dans ma tête. J'avais promis mais malgré ma volonté la maladie reprit le dessus. Un mal de tête fous me rattrapa comme à chaque fois. Il était tellement fort que je m'agrippa à la couette du lit sans m'en rendre compte. Je ferma les yeux. J'entendis la voix de Téo qui résonnais dans ma tête :
- T'est sur que sa va Victoire ?
- Ou... Oui ne t'en fais pas.
- Humh...
Après de longues secondes, la tempête fut passée. Je repris mes esprits :
- Bon alors je veux voir ses photos, moi.
Téo me sourit et mit la boite sans su-dessous de façon à la vider complètement. En fouillant je retrouvas les photos de l'autre jour, mais aussi de nombreuses autres. Petit à petit je découvrais ma vie d'avant. Et puis je tomba sur une photo ou au dos contrairement aux autres photos, la personne qui avait écrit n'était pas Téo mais moi. Signée de mes propres mains. " Le plus simplement possible : Je t'aime ♥. " Voilà se qui était écris.
Je pris Téo dans mes bras, les larmes au yeux. Il me chuchota :
- T'inquiète pas on rattrapera le temps perdu. Et puis je serais toujours à tes coter pour t'aider à t'en sortir avec cette foutu maladie que tu vas combattre.
- J'espère.
Il me lâcha avec un sourire en coin :
- De toute façon t'es obliger.
Je voudrais des avis sincère et des critique constructive, merci d'avance (:
Le son de ce chapitre : http://www.youtube.com/watch?v=Xn676-fLq7I&ob=av2e
Je ne répondis pas. Elle répéta alors :
- Bordel, Vic' tu fume ?
- Nan
- Ba alors c'est quoi ça ?
- J'ai fait la conne c'est tout, mais tu peux vérifier il en manque aucune. J'en n'aie pas fumée.
- Mouais.. Qui me dit que t'as pas achetée d'autres paquets.
- Mais merde, tu me fait pas confiance ou quoi !
- Si, excuse moi.
Je lui arracha le paquet des mains, et alla le jeter par la fenêtre. Je m'assis sur le rebord de celle-çi et soupira. Le temps était orageux. Dehors il y avait une odeur de pluie, vous savez cette odeur indescriptible qui règne quand en pleine été alors qui y à 5 min il faisait chaud, la pluie se met à tomber à seau, bref l'orage quoi. Je commençais à mouiller. Kim me rejoignit et me souffla :
- Tu m'en veux ?
- Non, ne t'en fait pas.
On finis par se coucher. Le lendemain matin on se prépara et descendit manger le petit déjeuner. Après ce dernier j'entraîna Kim dans la salle " de jeux " ou se trouvait le baby-foot. Sa faisait un moment qu'on y jouaient quand je me stoppa net. Pendant les première secondes Kim me regarda avec des grand yeux. Je la prit par la main, attrapa une veste et une paire de converse et l'emmena hors de la maison.
- Kim, ou je peux trouver ton frère ?
- Euhh... Surement dans sa chambre. Avec se temps de chien, ou veux tu qu'il sois ?
- Ouai t'a raison.
Je me dirigea vers leurs maison. J'hésitais, Kim me fit un clin d'oeil et ouvrit la porte à ma place. Elle entra, je la suivie. Je regrettais, pourquoi j'étais venu ? Qu'es que j'allais lui dire ?
Kim s'assis sur la première marche de l'escalier :
- Va s'y je t'attend.
- Je suis pas sur de vouloir y aller.
- Je sais que t'es morte de trouille, mais mon frère n'a jamais mangé personne tu sais.
- ....
Kim se mit à rire.
- Allez va s'y Victoire.
Je leva la tête pour regarder en haut des escaliers. Téo y était, il me fixait. Il nous avait surement entendu parler, et était venu voir qui s'était. Je monta les escaliers hésitante, mais j'essayais de le cacher. Je le suivie jusqu'à sa chambre. A l'intérieur c'était le KO total. Un bordel atroce, on aurait dit qu'une tempête était passer par là. Il me lâcha :
- Qu'es que tu viens faire içi ?
- J'en sais rien.
Le message était passé, je me retourna et fit demi tour. Il me rattrapa par le bras et me dit :
- Non, attend c'est pas se que je voulais dire.
Je resta dos à lui et le laissa continuer :
- Regarde moi dans les yeux et dit moi que tu ne m'aime pas.
- Tu sais très bien que j'en suis pas capable. Toi, maintenant regarde moi et promet moi que tu ne me mentira plus jamais.
- Promis. Mais je ne t'ai pas mentie. Je ne t'ai jamais mentie.
- Tu te fous de ma gueule ?
- Non !
- Ba alors c'est qui cette pouffiasse d'hier ?
- Cette pouffiasse s'est une fille qui fait tout pour que nous deux sa pète. Et visiblement sa marche. Tu me fait pas confiance ou quoi ?
- Si, excuse moi...
- Victoire, t'est ma meilleure amie, et tu sais que je t'aime.
Il s'approcha doucement de moi, glissa s'est mains autour de mes hanches et posa ses lèvres sur les miennes tout doucement. Puis il me chuchota avec un sourire au coin de lèvres :
- Enfin... Beaucoup plus que meilleure amie.
- Je t'aime.
- Je t'aime aussi Vic'
Il me déposa un baiser sur le front. Je le regarda dans les yeux, et lui dis gênée :
- Dis, tu peux me montrer les photos. Tu sais les photos sur lesquels je suis tombée l'autre jour.
- Humh... Seulement si tu es sur que tu ne vas pas t'évanouir. Je ne veux pas que tu me refasse cette frayeur.
- Promis.
Il me prit par la main et m'entraîna vers une petit placard blanc, il l'ouvris et en sortit un petit boite. On s'assis sur son lit et il l'ouvra sans un mot. Je fixais le boite, j'étais impatiente mais en même temps beaucoup de questions se bousculait dans ma tête. J'avais promis mais malgré ma volonté la maladie reprit le dessus. Un mal de tête fous me rattrapa comme à chaque fois. Il était tellement fort que je m'agrippa à la couette du lit sans m'en rendre compte. Je ferma les yeux. J'entendis la voix de Téo qui résonnais dans ma tête :
- T'est sur que sa va Victoire ?
- Ou... Oui ne t'en fais pas.
- Humh...
Après de longues secondes, la tempête fut passée. Je repris mes esprits :
- Bon alors je veux voir ses photos, moi.
Téo me sourit et mit la boite sans su-dessous de façon à la vider complètement. En fouillant je retrouvas les photos de l'autre jour, mais aussi de nombreuses autres. Petit à petit je découvrais ma vie d'avant. Et puis je tomba sur une photo ou au dos contrairement aux autres photos, la personne qui avait écrit n'était pas Téo mais moi. Signée de mes propres mains. " Le plus simplement possible : Je t'aime ♥. " Voilà se qui était écris.
Je pris Téo dans mes bras, les larmes au yeux. Il me chuchota :
- T'inquiète pas on rattrapera le temps perdu. Et puis je serais toujours à tes coter pour t'aider à t'en sortir avec cette foutu maladie que tu vas combattre.
- J'espère.
Il me lâcha avec un sourire en coin :
- De toute façon t'es obliger.
Je voudrais des avis sincère et des critique constructive, merci d'avance (:
Chapitre 7 :
[ Excusez pour le retard mais je profite du beau temps ♥. ]
Chapitre à lire avec ça : http://www.youtube.com/watch?v=4BAccox7-NM&feature=share
Le reste de la journée se passa merveilleusement bien.
Le lendemain je devais préparer une valise. Non, je ne déménageais pas encore une fois, mes parents avaient juste décidés de partir en week-end dans une petite ville tranquille. Je fis donc ma valise, 2 heures plus tard nous étions en train de mettre les valises dans le coffre quand je me rendis compte que j'avais oublié le chat. Sa faisais longtemps que je l'avais pas vue ce chat, je le chercha. Au bout de quelques minutes je le trouva enfin, vous ne devinerez jamais où. Bref, je le pris et le mit dans sa cage de transport. Je courus jusqu'à la voiture et y entra.
Après 1 heures de route j'en avais déjà marre, la musique dans les oreilles je n'avais qu'une seule envie : Arriver à destination. Mais s'y j'aurais su se qui m'y attendais, je crois que je n'aurais pas été si impatiente de sa...
La voiture ralentit, le moteur se coupe. Je crois que nous sommes arrivés. Ma mère me passe les clefs, je descends de la voiture le cage du chat à la main et les clefs de l'autre.
Devant mon nez se dresse une belle maison, je glisse les clefs dans la serrure de la porte d'entré et entre. Je sors chaussette de sa cage et je retourne chercher mes valises dans la voiture.
Je monte à l'étage deux chambres s'y trouvent. Je choisie celle avec la fenêtre sur la rue, je pose mes valises.
Il faut chaud et beau, je décide alors d'aller me baigner dans la piscine. J'ouvre une valise et en sors un maillot de bain 2 pièces noir. 5 min plus tard je suis sur la terrasse en bois, je lâche ma serviette et saute dans la piscine. L'eau rafraîchie ma peau bronzée. Je m'ennuie toute seule dans cette grande piscine. J'y reste un bon moment avant d'en sortir et de me sécher.
Je remonta dans ma chambre attrapa un short en jean, et un top léger avec cette chaleur je n'avais pas vraiment d'autre choix. J'attrapa une paire de Bensimon et mon skate en bas des escalier, comme à mon habitude.
Je file dans la rue sans savoir vraiment ou aller. Il y avait peu dans monde dans les allées, très peu même. Je m'arrêta devant une petite supérette et y entra mon skate à la main. J'y pris une canette de Coca-Cola, paya et sortis. Après quelque minutes de marche, je m'arrêta devant un skate-parc. Il était désert, je m'assis sur une des rampe, ouvris ma cannette et bus. Je repris mon skate et monta sur les rampes avant de poser ma canette sur l'une d'entre elle.
Quelque chose venait de tomber, je me retourna et vis un garçon au pied de ma canette. Il avait l'air confus, il s'excusa aussitôt :
- Ho, désoler je ne l'avais pas vu.
- Ho, non c'est rien.
Je lui souris, il sourit à son tour.
- Tu connais se troue pommé ?
- Non pas plus que toi .
- Pourquoi es-tu ici alors ?
- Je suis chez ma grand-mère en vacances.
- Bah alors tu connais cette ville.
- Non, c'est mes premières vacances chez elle, elle vient d'emménager ici. Et toi qu'es qui t'amène dans cette ville ?
- Moi ? Euh.. Un week-end avec mes parents et ma soeur, histoire de voyager un peu.
- Ha d'accord. Dis, t'as pas soif ?
- Si.
- Suit moi.
Je m'exécuta, je le trouvais sympathique ce garçon. Il me paya un autre Coca et en pris un pour lui aussi. Ensemble on " visita " ce troue à notre façon.
- 19h00 -
Je vu l'heure avec affolement.
- Il faut que j'y aille.
- D'accord à plus alors.
- Ouai.
Je pris mon skate et m'apprêtais à filer quand le garçon m'attrapa par le bras et me dit :
- Attend, c'est quoi ton nom ?
- Victoire, Victoire Jaydie. Et toi ?
Il se figea et me lâcha :
- N.... Nou.... Nourdine...
Je me figea à mon tour. Je revoyais tous ces moments passé avec Nourdine depuis notre rencontre dans ma ville d'avant jusqu'à aujourd'hui.
Ce fameux jour ou je tombais à la renverse à cause d'une pouffiasse qui venais de me faire un croche-pate, Nourdine de rattrapa à quelque centimètre du sol. Nos regards se sont croisées et plus jamais perdu de vu. Je crois que s'est se qu'on appelle un coup de foudre. Nous étions devenue inséparable.
Je revoyais ces journées entière passer à ces côtes. Ses baisers, ses câlins, ses mots doux, ses petits cadeaux et tout le reste...
Je revue également cette journée de merde ou j'appris mon déménagement et ou je partis comme une sauvage sans avoir le courage d'avouer à Nourdine mon départ.
Et pour terminer je revue cette après midi à ces côtés.
Un bout de ma vie venais de défiler devant mes yeux.
Ma tête me fessais de plus en plus mal, mes jambes se dérobaient. Mon skate glissa avant que je m'écroule encore une fois sur le sol.
Fin du septième chapitre.
[ Excusez pour le retard mais je profite du beau temps ♥. ]
Chapitre à lire avec ça : http://www.youtube.com/watch?v=4BAccox7-NM&feature=share
Le reste de la journée se passa merveilleusement bien.
Le lendemain je devais préparer une valise. Non, je ne déménageais pas encore une fois, mes parents avaient juste décidés de partir en week-end dans une petite ville tranquille. Je fis donc ma valise, 2 heures plus tard nous étions en train de mettre les valises dans le coffre quand je me rendis compte que j'avais oublié le chat. Sa faisais longtemps que je l'avais pas vue ce chat, je le chercha. Au bout de quelques minutes je le trouva enfin, vous ne devinerez jamais où. Bref, je le pris et le mit dans sa cage de transport. Je courus jusqu'à la voiture et y entra.
Après 1 heures de route j'en avais déjà marre, la musique dans les oreilles je n'avais qu'une seule envie : Arriver à destination. Mais s'y j'aurais su se qui m'y attendais, je crois que je n'aurais pas été si impatiente de sa...
La voiture ralentit, le moteur se coupe. Je crois que nous sommes arrivés. Ma mère me passe les clefs, je descends de la voiture le cage du chat à la main et les clefs de l'autre.
Devant mon nez se dresse une belle maison, je glisse les clefs dans la serrure de la porte d'entré et entre. Je sors chaussette de sa cage et je retourne chercher mes valises dans la voiture.
Je monte à l'étage deux chambres s'y trouvent. Je choisie celle avec la fenêtre sur la rue, je pose mes valises.
Il faut chaud et beau, je décide alors d'aller me baigner dans la piscine. J'ouvre une valise et en sors un maillot de bain 2 pièces noir. 5 min plus tard je suis sur la terrasse en bois, je lâche ma serviette et saute dans la piscine. L'eau rafraîchie ma peau bronzée. Je m'ennuie toute seule dans cette grande piscine. J'y reste un bon moment avant d'en sortir et de me sécher.
Je remonta dans ma chambre attrapa un short en jean, et un top léger avec cette chaleur je n'avais pas vraiment d'autre choix. J'attrapa une paire de Bensimon et mon skate en bas des escalier, comme à mon habitude.
Je file dans la rue sans savoir vraiment ou aller. Il y avait peu dans monde dans les allées, très peu même. Je m'arrêta devant une petite supérette et y entra mon skate à la main. J'y pris une canette de Coca-Cola, paya et sortis. Après quelque minutes de marche, je m'arrêta devant un skate-parc. Il était désert, je m'assis sur une des rampe, ouvris ma cannette et bus. Je repris mon skate et monta sur les rampes avant de poser ma canette sur l'une d'entre elle.
Quelque chose venait de tomber, je me retourna et vis un garçon au pied de ma canette. Il avait l'air confus, il s'excusa aussitôt :
- Ho, désoler je ne l'avais pas vu.
- Ho, non c'est rien.
Je lui souris, il sourit à son tour.
- Tu connais se troue pommé ?
- Non pas plus que toi .
- Pourquoi es-tu ici alors ?
- Je suis chez ma grand-mère en vacances.
- Bah alors tu connais cette ville.
- Non, c'est mes premières vacances chez elle, elle vient d'emménager ici. Et toi qu'es qui t'amène dans cette ville ?
- Moi ? Euh.. Un week-end avec mes parents et ma soeur, histoire de voyager un peu.
- Ha d'accord. Dis, t'as pas soif ?
- Si.
- Suit moi.
Je m'exécuta, je le trouvais sympathique ce garçon. Il me paya un autre Coca et en pris un pour lui aussi. Ensemble on " visita " ce troue à notre façon.
- 19h00 -
Je vu l'heure avec affolement.
- Il faut que j'y aille.
- D'accord à plus alors.
- Ouai.
Je pris mon skate et m'apprêtais à filer quand le garçon m'attrapa par le bras et me dit :
- Attend, c'est quoi ton nom ?
- Victoire, Victoire Jaydie. Et toi ?
Il se figea et me lâcha :
- N.... Nou.... Nourdine...
Je me figea à mon tour. Je revoyais tous ces moments passé avec Nourdine depuis notre rencontre dans ma ville d'avant jusqu'à aujourd'hui.
Ce fameux jour ou je tombais à la renverse à cause d'une pouffiasse qui venais de me faire un croche-pate, Nourdine de rattrapa à quelque centimètre du sol. Nos regards se sont croisées et plus jamais perdu de vu. Je crois que s'est se qu'on appelle un coup de foudre. Nous étions devenue inséparable.
Je revoyais ces journées entière passer à ces côtes. Ses baisers, ses câlins, ses mots doux, ses petits cadeaux et tout le reste...
Je revue également cette journée de merde ou j'appris mon déménagement et ou je partis comme une sauvage sans avoir le courage d'avouer à Nourdine mon départ.
Et pour terminer je revue cette après midi à ces côtés.
Un bout de ma vie venais de défiler devant mes yeux.
Ma tête me fessais de plus en plus mal, mes jambes se dérobaient. Mon skate glissa avant que je m'écroule encore une fois sur le sol.
Fin du septième chapitre.
[ Excusez pour le retard mais je profite du beau temps ♥. ]
Chapitre à lire avec ça : http://www.youtube.com/watch?v=4BAccox7-NM&feature=share
Le reste de la journée se passa merveilleusement bien.
Le lendemain je devais préparer une valise. Non, je ne déménageais pas encore une fois, mes parents avaient juste décidés de partir en week-end dans une petite ville tranquille. Je fis donc ma valise, 2 heures plus tard nous étions en train de mettre les valises dans le coffre quand je me rendis compte que j'avais oublié le chat. Sa faisais longtemps que je l'avais pas vue ce chat, je le chercha. Au bout de quelques minutes je le trouva enfin, vous ne devinerez jamais où. Bref, je le pris et le mit dans sa cage de transport. Je courus jusqu'à la voiture et y entra.
Après 1 heures de route j'en avais déjà marre, la musique dans les oreilles je n'avais qu'une seule envie : Arriver à destination. Mais s'y j'aurais su se qui m'y attendais, je crois que je n'aurais pas été si impatiente de sa...
La voiture ralentit, le moteur se coupe. Je crois que nous sommes arrivés. Ma mère me passe les clefs, je descends de la voiture le cage du chat à la main et les clefs de l'autre.
Devant mon nez se dresse une belle maison, je glisse les clefs dans la serrure de la porte d'entré et entre. Je sors chaussette de sa cage et je retourne chercher mes valises dans la voiture.
Je monte à l'étage deux chambres s'y trouvent. Je choisie celle avec la fenêtre sur la rue, je pose mes valises.
Il faut chaud et beau, je décide alors d'aller me baigner dans la piscine. J'ouvre une valise et en sors un maillot de bain 2 pièces noir. 5 min plus tard je suis sur la terrasse en bois, je lâche ma serviette et saute dans la piscine. L'eau rafraîchie ma peau bronzée. Je m'ennuie toute seule dans cette grande piscine. J'y reste un bon moment avant d'en sortir et de me sécher.
Je remonta dans ma chambre attrapa un short en jean, et un top léger avec cette chaleur je n'avais pas vraiment d'autre choix. J'attrapa une paire de Bensimon et mon skate en bas des escalier, comme à mon habitude.
Je file dans la rue sans savoir vraiment ou aller. Il y avait peu dans monde dans les allées, très peu même. Je m'arrêta devant une petite supérette et y entra mon skate à la main. J'y pris une canette de Coca-Cola, paya et sortis. Après quelque minutes de marche, je m'arrêta devant un skate-parc. Il était désert, je m'assis sur une des rampe, ouvris ma cannette et bus. Je repris mon skate et monta sur les rampes avant de poser ma canette sur l'une d'entre elle.
Quelque chose venait de tomber, je me retourna et vis un garçon au pied de ma canette. Il avait l'air confus, il s'excusa aussitôt :
- Ho, désoler je ne l'avais pas vu.
- Ho, non c'est rien.
Je lui souris, il sourit à son tour.
- Tu connais se troue pommé ?
- Non pas plus que toi .
- Pourquoi es-tu ici alors ?
- Je suis chez ma grand-mère en vacances.
- Bah alors tu connais cette ville.
- Non, c'est mes premières vacances chez elle, elle vient d'emménager ici. Et toi qu'es qui t'amène dans cette ville ?
- Moi ? Euh.. Un week-end avec mes parents et ma soeur, histoire de voyager un peu.
- Ha d'accord. Dis, t'as pas soif ?
- Si.
- Suit moi.
Je m'exécuta, je le trouvais sympathique ce garçon. Il me paya un autre Coca et en pris un pour lui aussi. Ensemble on " visita " ce troue à notre façon.
- 19h00 -
Je vu l'heure avec affolement.
- Il faut que j'y aille.
- D'accord à plus alors.
- Ouai.
Je pris mon skate et m'apprêtais à filer quand le garçon m'attrapa par le bras et me dit :
- Attend, c'est quoi ton nom ?
- Victoire, Victoire Jaydie. Et toi ?
Il se figea et me lâcha :
- N.... Nou.... Nourdine...
Je me figea à mon tour. Je revoyais tous ces moments passé avec Nourdine depuis notre rencontre dans ma ville d'avant jusqu'à aujourd'hui.
Ce fameux jour ou je tombais à la renverse à cause d'une pouffiasse qui venais de me faire un croche-pate, Nourdine de rattrapa à quelque centimètre du sol. Nos regards se sont croisées et plus jamais perdu de vu. Je crois que s'est se qu'on appelle un coup de foudre. Nous étions devenue inséparable.
Je revoyais ces journées entière passer à ces côtes. Ses baisers, ses câlins, ses mots doux, ses petits cadeaux et tout le reste...
Je revue également cette journée de merde ou j'appris mon déménagement et ou je partis comme une sauvage sans avoir le courage d'avouer à Nourdine mon départ.
Et pour terminer je revue cette après midi à ces côtés.
Un bout de ma vie venais de défiler devant mes yeux.
Ma tête me fessais de plus en plus mal, mes jambes se dérobaient. Mon skate glissa avant que je m'écroule encore une fois sur le sol.
Fin du septième chapitre.
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RépondreSupprimerC cool !! Mais c quand la suite ?? :D
RépondreSupprimerLa suite **
RépondreSupprimerContinue ta chronique , elle est trop bien !!! J'ai hâte de voir la suite :) .....<3
RépondreSupprimer*_* la suuuite ^^
RépondreSupprimercette fois-ci je n'ai pas trop compris le chapitre trois...
RépondreSupprimerSuper bien*-*
RépondreSupprimersuperbe
RépondreSupprimerContinue comme ça tu as du talent :)
RépondreSupprimerPour quand la suite ?:))
C est genial !!!!!! :) j adore ta chronique continue !!! A quand la suite ??
RépondreSupprimerVite la suite *-*
RépondreSupprimerla suite !!!!!
RépondreSupprimerJ'adore cette chronique !! *_* vivement la suite
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