dimanche 30 mars 2014
Un homme n’a pas dormi depuis 1988 !
Plus insolite que l’imaginaire, dont beaucoup douteraient de sa véracité et pourtant, une telle situation existe à 34 kilomètres à l’ouest de Mila, plus exactement à Ferdjioua, et concerne Ahmed Bouziane un quinquagénaire, marié père de six enfants, dont des étudiants à l’université.
Ammi Ahmed, mécanicien chez Naftal, a déclaré, consterné,qu’il n’a pas goûté au sommeil depuis 1988. Ami Ahmed raconte: « Toute la famille dort durant la nuit et moi, j’égrène les heures dans l’attente de l’aube. Ce trouble a commencé une année après mes noces et je n’avais jamais souffert de rien auparavant. Si je ferme les yeux, j’ai une douleur violente au ventre qui se déplace vers la gorge si je garde les paupières fermées ; alors, je me sens étouffer et je me lève en sueur et épuisé.
De peur que cela ne se reproduise, je ne ferme plus les yeux. »Notre interlocuteur raconte le début de son étrangeté : au mariage de son cousin, au démarrage de sa voiture, une roue était passée sur une pierre. Il est descendu pour voir et il est resté stupéfait devant l’aspect de la pierre.
Sur le trajet de retour, Ahmed a ressenti une forte migraine et a failli provoquer un accident car il ne voyait plus rien.« J’ai consulté plusieurs médecins durant deux ans, j’ai avalé des médicaments de toutes sortes, j’ai tenté l’exorcisme », se souvient Ammi Ahmed, « Psychiquement, je me suis senti mieux, mais point de sommeil ! Je me suis habitué à cette situation qui est devenue normale pour moi, sauf que j’ai des problèmes de vision », déplore-t-il. Ce qui est frappant, lorsque l’on rencontre Ahmed Bouziane, c’est ses yeux rougis et la difficulté pour lui à les garder ouverts sans parler de la difficulté de lecture.
Mais Ammi Ahmed est fort de sa foi en Dieu. « C’est Sa Volonté, je ne distingue plus le jour de la nuit ! », s’exclame-t-il.Il déclare quand même fermer les yeux durant un quart d’heure à trente minutes, après le déjeuner, assis sur sa chaise, sans pour autant dormir, ayant conscience de tout ce qui l’entoure. Ammi Ahmed lance un appel à travers notre journal à quiconque pourrait l’aider, soit à comprendre, soit à guérir, car « comme tout être humain, j’ai le droit de jouir du sommeil dont je suis privé depuis 22 ans. Y a-t-il une solution ? »
Source
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lundi 24 mars 2014
samedi 22 mars 2014
Tres émouvant, à lire attentivement
Mariés ou non, vous devriez lire ceci ...
"Quand je suis rentré ce soir-là, et que ma femme a servi le dîner, je lui tenais la main et dit: J'ai quelque chose à vous dire. Elle s'assit et mangea tranquillement. Encore une fois j'ai observé la douleur dans ses yeux.
Tout à coup, je ne savais pas comment ouvrir ma bouche. Mais je devais lui dire ce que je pensais. « Je veux divorcer ». J'ai soulevé le sujet calmement. Elle ne semblait pas être ennuyé par mes paroles, bien au contraire elle me demanda doucement : pourquoi?
J'ai évité la question. Cela la mit en colère. Elle a jeté les couverts et me cria : tu n'es pas un homme! Cette nuit-là, on ne s’est pas parlé l’un l'autre. Elle pleurait. Je savais qu'elle voulait savoir ce qui était arrivé à notre mariage. Mais je ne pouvais lui donner une réponse satisfaisante, elle avait perdu mon cœur, car il s’était tourné vers Jane. Je ne l'aimais pas du tout, j’avais juste pitié d’elle!
Avec un profond sentiment de culpabilité, j'ai rédigé une lettre de divorce, qui stipulait qu'elle pouvait avoir notre maison, notre voiture, et 30% du capital de ma société. Elle la regarda, puis la déchira en mille morceaux. La femme qui avait passé dix ans de sa vie avec moi était devenue une étrangère. J’étais désolé pour elle et pour la perte de temps, de ressources et d'énergie, mais je ne pouvais pas reprendre ce que j'avais dit car j'aimais Jane chèrement. Enfin, elle a crié haut et fort en face de moi, et c'est ce que je m'attendais à voir. Pour moi son cri était en fait une sorte de libération. L'idée d'un divorce qui m'avait obsédée pendant plusieurs semaines semblait être plus ferme et plus clair maintenant.
Le lendemain, je suis rentré très tard et l’ai trouvée entrain d’écrire quelque chose à la table. Je n'ai pas pris le souper, mais je suis allé directement au lit et m'endormi très vite parce que j'étais fatigué après une journée bien remplie avec Jane. Lorsque je me suis réveillé, elle était toujours là au bureau. Je n'y ai pas prêté attention, je me suis retourné et ai encore dormi.
Dans la matinée, elle a présenté ses conditions de divorce: elle ne voulait rien de moi, mais elle avait besoin d'un mois de préavis avant le divorce. Elle a demandé que, dans cette période d'un mois nous aurons tous deux à lutter pour vivre une vie aussi normale que possible. Ses raisons sont simples: notre fils aura ses examens dans un mois, et elle ne voulait pas lui perturber le morale par notre mariage brisé.
Ce fut agréable pour moi. Mais elle avait quelque chose de plus, elle m'a demandé de me rappeler comment je l'avais transporté dans la chambre nuptiale le jour de notre mariage. Elle a demandé que tous les jours pendant la durée du mois, je l'emmène hors de notre chambre à la porte chaque matin. Je croyais qu'elle devenait folle. Afin de rendre nos derniers jours d’ensemble agréables, j'ai accepté sa demande bizarre.
J'ai parlé à Jane des conditions de divorce de ma femme. . Elle éclata de rire, et trouva cela absurde : « Peu importe les méthodes qu’elle appliquera, elle doit faire face au divorce », dit-elle avec mépris.
Ma femme et moi n'avions pas eu de contact de corps depuis que mon intention de divorce a été explicitement exprimée. Donc quand je l'ai portée le premier jour, nous avons tous deux paru maladroits. Notre fils applaudit derrière nous disant : « papa tient maman dans ses bras. » Ses paroles m'ont apporté un sentiment de douleur. De la chambre au salon, puis à la porte, j'ai marché plus de dix mètres avec elle dans mes bras. Elle ferma les yeux et dit doucement, ne dis rien à notre fils au sujet du divorce. J'ai hoché la tête, me sentant quelque peu bouleversé. Je l’ai posée devant la porte. Elle est allée à attendre le bus pour aller au travail. J'ai conduit seul et partis au bureau.
Le deuxième jour, nous l’avons fait beaucoup plus facilement. Elle se pencha sur ma poitrine. Je pouvais sentir le parfum de son chemisier. J'ai réalisé que je n'avais pas regardé cette femme attentivement pendant une longue période. J'ai réalisé qu'elle n'était pas jeune non plus. Il y avait des fines rides sur son visage, ses cheveux grisonnaient! Notre mariage avait fait des ravages sur elle. Pendant une minute, je me suis demandé ce que j'avais fait d’elle.
Le quatrième jour, quand je l'ai soulevée, j’ai senti au retour un sentiment d'intimité. Ce fut la femme qui avait donné dix ans de sa vie pour moi. Le cinquième jour, et le sixième, j'ai compris que notre sentiment d'intimité renoué était croissant. Je n'ai rien dit à Jane à ce sujet. Il est devenu plus facile de la porter au fur et mesure que le mois s'écoulait. Peut-être que la séance d'entraînement quotidienne m'a rendu plus fort.
Et un matin, elle se mit à chercher quoi porter. Elle a essayé pas mal quelques robes mais ne pouvait pas trouver une qui la convienne. Puis elle soupira : « toutes mes robes ont grandi ». J'ai soudain réalisé qu'elle avait tellement maigri, c'était la raison pour laquelle je pouvais la porter plus facilement.
Tout à coup, cela m'a frappé ... elle avait enduré tant de douleur et d'amertume dans son cœur. Inconsciemment, j'ai tendu la main et toucha sa tête.
Notre fils est venu en ce moment et dit: Papa, il est temps de porter maman. Pour lui, voyant son père portant sa mère était devenue une partie essentielle de sa vie. Ma femme fit un geste à notre fils de venir plus près et le serra étroitement. Je tournais mon visage parce que j'avais peur, je pourrais changer d'avis à la dernière minute. Je l’ai alors prise dans mes bras, marchant de la chambre, à travers le salon, dans le couloir. Elle mit doucement et naturellement ses mains autour de mon cou. Je l'ai serrée contre moi. C’était comme le jour de notre mariage.
Mais son poids beaucoup plus léger m'a rendu triste. Le dernier jour, lorsque je l'ai tenue dans mes bras, je pouvais à peine bouger d'un pas. Notre fils était allé à l'école. Je l'ai tenue fermement et lui dit: Je n'avais pas remarqué que notre vie manquait d'intimité. J'ai conduit et suis allé au bureau .... J’ai sauté de la voiture rapidement sans verrouiller la porte. J'avais peur qu’il soit tard pour moi de changer d'avis ... Je pris les escaliers. Jane ouvrit la porte et je lui ai dit, Désolé, Jane, je ne veux plus de divorce.
Elle me regarda, étonnée, puis toucha mon front : « As-tu de la fièvre? » Dit-elle. J’ai enlevé sa main de ma tête : « Désolé, Jane », je dis, « je ne vais pas divorcer. Ma vie conjugale était ennuyeuse sans doute parce qu'elle et moi n'avions pas valorisé les détails de nos vies, et non parce que nous ne nous aimions plus. Maintenant je me rends compte que depuis que je l'ai amenée à mon domicile le jour de notre mariage, je suis censé la garder jusqu'à ce que la mort nous sépare ». Jane semblait soudainement se réveiller. Elle m'a donné une claque forte puis claqua la porte et fondit en larmes. Je descendis et m'en allais. À la boutique de fleurs sur le chemin, j'ai commandé un bouquet de fleurs pour ma femme. La vendeuse m'a demandé ce qu’elle pouvait écrire sur la carte. J'ai souri et j’ai écrit : Je te porterais chaque matin jusqu'à ce que la mort nous sépare.
Ce soir je suis arrivé à la maison, des fleurs dans mes mains, un sourire sur mon visage. Je montais les escaliers, mais seulement, hélas, pour trouver ma femme dans le lit, morte. Ma femme avait été lutté contre le cancer depuis des mois et j'ai été tellement occupé avec Jane, que je n’ai même pas remarqué. Elle savait qu'elle allait mourir bientôt et elle a voulu me sauver de la réaction négative de notre fils, au cas où nous aurions divorcé. Du moins, aux yeux de notre fils - je suis un mari aimant ... .
Les petits détails de votre vie sont ce qui importe vraiment dans une relation. Ce n'est pas la maison, la voiture, la propriété, l'argent à la banque. Ceux-ci créent un environnement propice pour le bonheur mais ne peut pas donner le bonheur en eux-mêmes.
Donc, trouver du temps pour être l'ami de votre conjoint et de faire ces petites choses pour l'autre qui construisent l'intimité. Faire un vrai mariage heureux!
Si vous ne partagez pas ceci, rien ne vous arrivera.
Si vous le faites, vous venez peut-être de sauver un mariage. Beaucoup d'échecs de la vie sont dus au fait que les gens ne se rendent pas compte à quel point ils étaient près du succès au moment où ils ont abandonné.
"Quand je suis rentré ce soir-là, et que ma femme a servi le dîner, je lui tenais la main et dit: J'ai quelque chose à vous dire. Elle s'assit et mangea tranquillement. Encore une fois j'ai observé la douleur dans ses yeux.
Tout à coup, je ne savais pas comment ouvrir ma bouche. Mais je devais lui dire ce que je pensais. « Je veux divorcer ». J'ai soulevé le sujet calmement. Elle ne semblait pas être ennuyé par mes paroles, bien au contraire elle me demanda doucement : pourquoi?
J'ai évité la question. Cela la mit en colère. Elle a jeté les couverts et me cria : tu n'es pas un homme! Cette nuit-là, on ne s’est pas parlé l’un l'autre. Elle pleurait. Je savais qu'elle voulait savoir ce qui était arrivé à notre mariage. Mais je ne pouvais lui donner une réponse satisfaisante, elle avait perdu mon cœur, car il s’était tourné vers Jane. Je ne l'aimais pas du tout, j’avais juste pitié d’elle!
Avec un profond sentiment de culpabilité, j'ai rédigé une lettre de divorce, qui stipulait qu'elle pouvait avoir notre maison, notre voiture, et 30% du capital de ma société. Elle la regarda, puis la déchira en mille morceaux. La femme qui avait passé dix ans de sa vie avec moi était devenue une étrangère. J’étais désolé pour elle et pour la perte de temps, de ressources et d'énergie, mais je ne pouvais pas reprendre ce que j'avais dit car j'aimais Jane chèrement. Enfin, elle a crié haut et fort en face de moi, et c'est ce que je m'attendais à voir. Pour moi son cri était en fait une sorte de libération. L'idée d'un divorce qui m'avait obsédée pendant plusieurs semaines semblait être plus ferme et plus clair maintenant.
Le lendemain, je suis rentré très tard et l’ai trouvée entrain d’écrire quelque chose à la table. Je n'ai pas pris le souper, mais je suis allé directement au lit et m'endormi très vite parce que j'étais fatigué après une journée bien remplie avec Jane. Lorsque je me suis réveillé, elle était toujours là au bureau. Je n'y ai pas prêté attention, je me suis retourné et ai encore dormi.
Dans la matinée, elle a présenté ses conditions de divorce: elle ne voulait rien de moi, mais elle avait besoin d'un mois de préavis avant le divorce. Elle a demandé que, dans cette période d'un mois nous aurons tous deux à lutter pour vivre une vie aussi normale que possible. Ses raisons sont simples: notre fils aura ses examens dans un mois, et elle ne voulait pas lui perturber le morale par notre mariage brisé.
Ce fut agréable pour moi. Mais elle avait quelque chose de plus, elle m'a demandé de me rappeler comment je l'avais transporté dans la chambre nuptiale le jour de notre mariage. Elle a demandé que tous les jours pendant la durée du mois, je l'emmène hors de notre chambre à la porte chaque matin. Je croyais qu'elle devenait folle. Afin de rendre nos derniers jours d’ensemble agréables, j'ai accepté sa demande bizarre.
J'ai parlé à Jane des conditions de divorce de ma femme. . Elle éclata de rire, et trouva cela absurde : « Peu importe les méthodes qu’elle appliquera, elle doit faire face au divorce », dit-elle avec mépris.
Ma femme et moi n'avions pas eu de contact de corps depuis que mon intention de divorce a été explicitement exprimée. Donc quand je l'ai portée le premier jour, nous avons tous deux paru maladroits. Notre fils applaudit derrière nous disant : « papa tient maman dans ses bras. » Ses paroles m'ont apporté un sentiment de douleur. De la chambre au salon, puis à la porte, j'ai marché plus de dix mètres avec elle dans mes bras. Elle ferma les yeux et dit doucement, ne dis rien à notre fils au sujet du divorce. J'ai hoché la tête, me sentant quelque peu bouleversé. Je l’ai posée devant la porte. Elle est allée à attendre le bus pour aller au travail. J'ai conduit seul et partis au bureau.
Le deuxième jour, nous l’avons fait beaucoup plus facilement. Elle se pencha sur ma poitrine. Je pouvais sentir le parfum de son chemisier. J'ai réalisé que je n'avais pas regardé cette femme attentivement pendant une longue période. J'ai réalisé qu'elle n'était pas jeune non plus. Il y avait des fines rides sur son visage, ses cheveux grisonnaient! Notre mariage avait fait des ravages sur elle. Pendant une minute, je me suis demandé ce que j'avais fait d’elle.
Le quatrième jour, quand je l'ai soulevée, j’ai senti au retour un sentiment d'intimité. Ce fut la femme qui avait donné dix ans de sa vie pour moi. Le cinquième jour, et le sixième, j'ai compris que notre sentiment d'intimité renoué était croissant. Je n'ai rien dit à Jane à ce sujet. Il est devenu plus facile de la porter au fur et mesure que le mois s'écoulait. Peut-être que la séance d'entraînement quotidienne m'a rendu plus fort.
Et un matin, elle se mit à chercher quoi porter. Elle a essayé pas mal quelques robes mais ne pouvait pas trouver une qui la convienne. Puis elle soupira : « toutes mes robes ont grandi ». J'ai soudain réalisé qu'elle avait tellement maigri, c'était la raison pour laquelle je pouvais la porter plus facilement.
Tout à coup, cela m'a frappé ... elle avait enduré tant de douleur et d'amertume dans son cœur. Inconsciemment, j'ai tendu la main et toucha sa tête.
Notre fils est venu en ce moment et dit: Papa, il est temps de porter maman. Pour lui, voyant son père portant sa mère était devenue une partie essentielle de sa vie. Ma femme fit un geste à notre fils de venir plus près et le serra étroitement. Je tournais mon visage parce que j'avais peur, je pourrais changer d'avis à la dernière minute. Je l’ai alors prise dans mes bras, marchant de la chambre, à travers le salon, dans le couloir. Elle mit doucement et naturellement ses mains autour de mon cou. Je l'ai serrée contre moi. C’était comme le jour de notre mariage.
Mais son poids beaucoup plus léger m'a rendu triste. Le dernier jour, lorsque je l'ai tenue dans mes bras, je pouvais à peine bouger d'un pas. Notre fils était allé à l'école. Je l'ai tenue fermement et lui dit: Je n'avais pas remarqué que notre vie manquait d'intimité. J'ai conduit et suis allé au bureau .... J’ai sauté de la voiture rapidement sans verrouiller la porte. J'avais peur qu’il soit tard pour moi de changer d'avis ... Je pris les escaliers. Jane ouvrit la porte et je lui ai dit, Désolé, Jane, je ne veux plus de divorce.
Elle me regarda, étonnée, puis toucha mon front : « As-tu de la fièvre? » Dit-elle. J’ai enlevé sa main de ma tête : « Désolé, Jane », je dis, « je ne vais pas divorcer. Ma vie conjugale était ennuyeuse sans doute parce qu'elle et moi n'avions pas valorisé les détails de nos vies, et non parce que nous ne nous aimions plus. Maintenant je me rends compte que depuis que je l'ai amenée à mon domicile le jour de notre mariage, je suis censé la garder jusqu'à ce que la mort nous sépare ». Jane semblait soudainement se réveiller. Elle m'a donné une claque forte puis claqua la porte et fondit en larmes. Je descendis et m'en allais. À la boutique de fleurs sur le chemin, j'ai commandé un bouquet de fleurs pour ma femme. La vendeuse m'a demandé ce qu’elle pouvait écrire sur la carte. J'ai souri et j’ai écrit : Je te porterais chaque matin jusqu'à ce que la mort nous sépare.
Ce soir je suis arrivé à la maison, des fleurs dans mes mains, un sourire sur mon visage. Je montais les escaliers, mais seulement, hélas, pour trouver ma femme dans le lit, morte. Ma femme avait été lutté contre le cancer depuis des mois et j'ai été tellement occupé avec Jane, que je n’ai même pas remarqué. Elle savait qu'elle allait mourir bientôt et elle a voulu me sauver de la réaction négative de notre fils, au cas où nous aurions divorcé. Du moins, aux yeux de notre fils - je suis un mari aimant ... .
Les petits détails de votre vie sont ce qui importe vraiment dans une relation. Ce n'est pas la maison, la voiture, la propriété, l'argent à la banque. Ceux-ci créent un environnement propice pour le bonheur mais ne peut pas donner le bonheur en eux-mêmes.
Donc, trouver du temps pour être l'ami de votre conjoint et de faire ces petites choses pour l'autre qui construisent l'intimité. Faire un vrai mariage heureux!
Si vous ne partagez pas ceci, rien ne vous arrivera.
Si vous le faites, vous venez peut-être de sauver un mariage. Beaucoup d'échecs de la vie sont dus au fait que les gens ne se rendent pas compte à quel point ils étaient près du succès au moment où ils ont abandonné.
jeudi 13 mars 2014
Quelle triste histoire...
histoire trouver sur internet:
UN COUPLE ETAIT SUR UNE MOTO A 100KM/H
La fille :Ralenti, j'ai peur.
Le mec :Nan arréte c'est marrant.
La fille : nan c'est pas marrant, s'il te plait j'ai trop peur.
Le mec :bah dis moi que tu m'aime...
La fille :ok, je t'aime, Ralenti!
Le mec : Maintenant donne moi un gros calin.
°o°o°o la fille lui fait un calin °o°o°o
Le mec :Tu peux enlever mon casque et le mettre s'il te plait, il me géne...
°o°o°o°o°o°o°o°o°o°o°o Le lendemain dans le journal °o°o°o°o°o°o°o°o°o°o°o
Un accident de moto c'est produit hier a 14h00, deux personnes étaient sur la moto mais une seule a survécue...
°o°o°o°o°o°o°o°o°o°o°o La vrai réalité ...°o°o°o°o°o°o°o°o°o°o°o
A mi chemin sur la route...Le gars a réalise que c'est freins ne marchait plus, mais ...
Il n'a pas voulu lui dire,
Il lui a fait dire qu'elle l'aimait, et a voulu un câlin ...
Pour la dernière fois, ensuite il lui a fait mettre son casque
Pour qu'elle puisse vivre encore même si cela voulait dire...
Qu'il devait y laisser sa vie pour ça
La fille :Ralenti, j'ai peur.
Le mec :Nan arréte c'est marrant.
La fille : nan c'est pas marrant, s'il te plait j'ai trop peur.
Le mec :bah dis moi que tu m'aime...
La fille :ok, je t'aime, Ralenti!
Le mec : Maintenant donne moi un gros calin.
°o°o°o la fille lui fait un calin °o°o°o
Le mec :Tu peux enlever mon casque et le mettre s'il te plait, il me géne...
°o°o°o°o°o°o°o°o°o°o°o Le lendemain dans le journal °o°o°o°o°o°o°o°o°o°o°o
Un accident de moto c'est produit hier a 14h00, deux personnes étaient sur la moto mais une seule a survécue...
°o°o°o°o°o°o°o°o°o°o°o La vrai réalité ...°o°o°o°o°o°o°o°o°o°o°o
A mi chemin sur la route...Le gars a réalise que c'est freins ne marchait plus, mais ...
Il n'a pas voulu lui dire,
Il lui a fait dire qu'elle l'aimait, et a voulu un câlin ...
Pour la dernière fois, ensuite il lui a fait mettre son casque
Pour qu'elle puisse vivre encore même si cela voulait dire...
Qu'il devait y laisser sa vie pour ça
Triste histoire d'amour... :'(
Garçon: Hey, mon amour!
Fille: Hey.
Garçon: tu m'as manqué au collége aujourdhui, pourquoi t'étais pas là?
Fille: J'ai dû aller chez le médecin.
Garçon: 0h vraiment? Pourquoi?
Fille: 0h, rien. Juste un rhume, c'est tout.
Garçon: Ah.
Fille: Alors qu'est-ce que vous avez fait en cours aujourd'hui?
Garçon: 0h tu sais juste un contrôle.
Fille: Très bien.
Garçon: 0uais.
Fille: J'ai une question à te poser.
Garçon: 0ui?
Fille: Ah combien de % tu m'aimes?
Garçon: Tu sais je t'aime plus que tout dans ce monde.
Fille: 0ui.
Garçon: Pourquoi tu me demandes ça??
Fille: *silence*
Garçon: Est-ce qu'il y a un truc qui ne vas pas ?
Fille: Rien du tout. Combien tu tiens à moi?
Garçon: Je voudrais te donner le monde en un battement de cœur si je pouvais.
Fille: tu ferais ça?
Garçon: 0uais, bien sûr je le ferais. *l'air inquiet* y-a-t-il quelque chose qui ne va pas ?
Fille: Non, tout va bien.
Garçon: t'es sûr?
Fille: 0ui.
Garçon: D'accord. Je l'espère.
Fille: voudrais-tu mourrir pour moi?
Garçon: Je prendrais une balle pour toi tous les jours, des centaines même mais pourquoi cette question ?
Fille: Vraiment? Non comme ça.
Garçon: 0k. Maintenant, sérieusement, qu'est-ce qu'il y a?
Fille: Non, je vais bien. Tu vas bien. Nous allons bien. Tout le monde va bien et tout est beau.
Garçon: D'accord si tu le dit.
Fille: Bon bah il faut que je te laisse, je dois y aller. Je te verrai demain au college.
Garçon: 0k, au revoir. Je t'aime!
Fille: 0uais. Je t'aime aussi. Bye.
Le lendemain à l'école.
Garçon: Hé, t'as pas vu ma copine aujourd'hui?
Ami: Non.
Garçon: Ah.
Ami: Elle était pas là hier non plus.
Garçon: Je sais. Elle étais tous bizarre au téléphone hier.
Ami: Eh bien, mec, tu sais comment les filles sont parfois.
Garçon: 0uais, mais pas elle.
Ami: Je ne sais pas quoi dire d'autre mec.
Garçon: 0uais, eh bien je dois aller en anglais Je vais te voir après la sortie.
Ami: 0ui, je dois aller en science. A plus tard.
Cette nuit.
*téléphone sonne*
Fille: Allo ?
Garçon: Hey.
Fille: 0h, salut.
Garçon: Pourquoi tu étais pas là aujourd'hui?
Fille: Euh, j'ai eu un autre rendez-vous chez le médecin.
Garçon: t'es malade ou.. quoi ?
Fille: Euh, je dois y aller. Ma mère appelle sur l'autre ligne.
Garçon: Je vais attendre.
Fille: ça peut prendre un certain temps. Je vais te rappeler plus tard.
Garçon: Très bien.. Je t'aime.
-Très longue pause-
Fille: *avec les larmes aux yeux* Euh.. je pense qu'ont devrait se quitter..
Garçon: Quoi?
Fille: C'est la meilleure chose a faire..
Garçon: Pourquoi?
Fille: Je t'aime.
La fille ne vient pas à l'école pendant plus de 3 semaines et ne repond plus a son téléphone..
Garçon: Hey meuf.
Ami: Hey.
Garçon: Quoi de neuf?
Ami: Rien. Et ta parlé à ton ex dernièrement?
Garçon: Non.
Ami: Donc t'as pas entendu?
Garçon: Entendu quoi?
Ami: Euh, je ne sais pas si je dois te le dire.
Garçon: dis-le moi!
Ami: Euh. Appele ce numéro, 433-555-3468.
Garçon: 0k, merci!
Le gars appelle le numéro après les cours.
Voix: Bonjour, Suppam County Hospital. C'est l'infirmière Victoria.
Garçon: Euh, je dois avoir le mauvais numéro. Je cherche pour mon amie.
Voix: Quel est son nom, monsieur?
*le gars donne les infos*
Voix: 0ui, c'est le bon numéro. Elle est l'un de nos patients ici.
Garçon: Vraiment? Pourquoi? Qu'est-il arrivé? Comment est-elle?
Voix: Son numéro de chambre est le 646 batiment A, bureau 3.
Garçon: Qu'est-il arrivé?
Voix: S'il vous plaît venez monsieur et vous pourrez la voir. Au revoir.
Garçon: ATTENDEZ! NON!
Le garçon va à l'hôpital, et LA SALLE 646, Bâtiment A, bureau 3. La fille est couché dans le lit d'hôpital.
Garçon: 0h mon Dieu, qu'est ce qu'il c'est passer ?!
Fille: *le silence*
Garçon: Bébé, parle-moi!
Fille: Je....
Garçon: Parle moi ?
Fille: J'ai un cancer et je suis branché pour vivre..
Garçon: *en larmes*
Fille: Ils me débranchent ce soir.
Boy: Pourquoi?
Fille: Je voulais te le dire, mais je pouvais pas..
Boy: Pourquoi tu me l'as pas dit!
Fille: Je voulais pas te blesser.
Garçon: Tu ne pourras jamais me blesser.
Fille: Je voulais juste voir si tu sentais pour moi la même chose que j'ai senti pour toi..
Garçon: Hein, quoi ?
Fille: Je t'aime plus que tout. Je te donnerais le monde en un battement de coeur. Je mourrais pour toi et je prendrais une balle pour toi.
Garçon: *pleure*
Fille: Ne sois pas triste. Je t'aime et je serai toujours là avec toi..
Garçon: Alors pourquoi as-tu rompu avec moi?
Infirmière: Jeune homme, les heures de visites sont terminées.
Le garcon part et plus tard cette nuit là, la jeune fille fut débranchée.. Mais ce que le garçon ne savait pas, c'est que la fille lui a posé ces questions pour qu'elle puisse l'entendre lui dire une dernière fois. Elle a rompu avec lui parce qu'elle savait qu'elle n'avait plus que trois semaines à vivre et elle pensait que ce serait lui causer moins de douleur et de lui donner le temps d'un peu l'oublier avant qu'elle ne meurt.
Le lendemain.
Le garçon est retrouvé mort avec un pistolet dans une main et une note dans l'autre.
La note disait : "Je lui ai dit que je prendrais une balle pour elle, comme elle a dit qu'elle allait mourir pour moi." ♥
Tout ce que Dieu fait est bon…
Cette histoire se serait passée dans la ville de Lille.
Un jeune voulait sortir un soir avec ses amis. Par politesse, il informe son père de son intention de sortir, mais celui-ci le déconseille fermement de sortir et le somme de rester à a maison.
Le jeune sans insister explique à ses amis qu’il ne va pas pouvoir sortir avec eux. Il leur laisse toutefois sa voiture avec tous les papiers du véhicule.
Ses amis s’en vont et il reste chez lui, passe la soirée en famille.
Dans la nuit, ses amis ont fait un accident de voiture et sont tous morts sur le coup. La voiture était dans un tel état que les policiers n’ont pas pu identifier les corps et ont conclu que le propriétaire du véhicule était parmi les victimes.
Les policiers se rendent chez les jeunes pour annoncer la triste nouvelle. Lorsque le père apprend ce qu’il s’est passé, il était bien entendu triste d’apprendre que les amis de son fils venaient de mourir, mais il fut aussi soulagé que son fils l’ait écouté et soit resté à la maison.
Il se dirigea vers la chambre de son fils pour lui annoncer la triste nouvelle, mais il trouva son fils mort lui aussi, dans son lit !
La mort arrive quand elle veut, où elle veut, comme elle veut. Nous n’aurons pas toujours d’explication aux actes de Dieu, encore moins de réponses aux intrigantes questions que nous nous posons quand certaines choses inexplicables nous arrivent.
Comment ce jeune homme peut-il mourir ainsi ?
Comment peut-on mourir dans son lit sans la moindre maladie annonciatrice d’une telle tragédie ?
Qu’a fait ce jeune pour mourir aussi subitement ? Le mérité-t-il ?
Notre impuissance face à certaines choses doit toujours nous rappeler que nous ne sommes que des humains. Nous ne sommes rien, nous n’avons aucune force, nous venons de la poussière et à la poussière, nous retournerons ; peu importe la façon dont Dieu a décidé de notre retour à cette poussière.
Seul Dieu sait vraiment les raisons pour lesquelles chaque chose arrive.
Rendons-lui grâce en toutes circonstances.
Tout ce que Dieu fait est bon.
Bonne fin de week-end.
dimanche 9 mars 2014
Une petite histoire mignonne
> > >
> > > Une petite fille marchait tous les jours pour aller et revenir de l'école.
> > >
> > > Bien que ce matin là des nuages se formaient, elle se rendit à pied à son école élémentaire.
> > >
> > > Durant l'après-midi, les vents s'élevèrent et les éclairs apparurent.
> > >
> > > La Maman de la petite craignait que sa fillette ne prenne peur en revenant à la maison et que la tempête électrique puisse lui faire du tort.
> > > Inquiète, la Maman, s'empressa de prendre la route, en voiture, vers l'école.
> > >
> > > En route, elle vit apparaître sa petite, qui, à chaque éclair, s'arrêtait, regardait en haut et souriait.
> > >
> > > Quelques éclairs se succédèrent rapidement et, chaque fois, l'enfant regardait vers l'éclair et souriait.
> > > Sa mère parvint à ses côtés, baissa sa fenêtre et lui demanda : Mais, que fais-tu là?
> > > L'enfant de répondre
> > >
> > > J'essaie d'être belle, car Dieu n'arrête pas de prendre ma photo!
jeudi 6 mars 2014
Un secret
- Petit garçon : Chut ! Tu vas lui faire peur !
- Petite fille : Faire peur à qui ?
- Petit garçon : Je ne peux pas le dire, c'est un secret..
- Petite fille : Je sais garder les secrets ...
- Petit garçon : Bon, d'accord ... Et bien je cherche l'amour.Ma maman m'a dit qu'il pouvait se cacher partout, derrière un arbre, sous un banc, au bout d'un chemin..
- Petite fille : Je peux t'aider à le chercher ? Ma maman elle dit qu'il faut être deux pour le trouver... .
Sept logiques à appliquer pour mieux vivre la vie
1- Fais la paix avec ton passé afin qu'il ne ruine pas ton présent.
2- Ce que les autres pensent de toi ne te regarde pas.
3- Le temps guérit presque tout, alors donne du temps au temps.
4- Personne n'est en charge de ton bonheur excepté toi.
5- Ne compare pas ta vie à celle des autres car tu n'as aucune idée de quoi leur voyage est fait.
6- Cesse de trop penser parfois tu n'as pas besoin de connaitre toutes les réponses.
7- Souris car tu ne possède pas tous les problèmes du monde.
2- Ce que les autres pensent de toi ne te regarde pas.
3- Le temps guérit presque tout, alors donne du temps au temps.
4- Personne n'est en charge de ton bonheur excepté toi.
5- Ne compare pas ta vie à celle des autres car tu n'as aucune idée de quoi leur voyage est fait.
6- Cesse de trop penser parfois tu n'as pas besoin de connaitre toutes les réponses.
7- Souris car tu ne possède pas tous les problèmes du monde.
Les femmes...
Les femmes sont comme des pommes dans les arbres les meilleures sont au sommet, les hommes ne veulent pas les attraper par peur de tomber,ils prennent les pommes pourries par terre qui ne sont pas bonnes mais faciles à ramasser.Alors les pommes qui sont au sommet pensent que quelque chose ne va pas chez elles mais non, elles sont excellentes elles doivent juste être patientes et attendre que l'homme courageux arrive.''
Citation.. <3
Je fais tout ce que je peux pour te rendre heureux. Je suis toujours là quand tu as besoin de moi, et même quand tu pourrais te débrouiller tout seul, je ne suis jamais bien loin. Les promesses que je t'ai faites, je les ais toujours tenues. Quand il a fallut faire des concessions, j'en ai faites aussi. Et puis j'ai souvent fait passer ton bonheur avant le miens. Alors maintenant, oui, quand tu me déçois, quand tu ne tiens pas ta parole ou quand tu dépasse certaines limites, je m'énerve. Parfois je pleure. Et je me plains aussi. Mais tu vois, si jamais il t'arrivait régulièrement de chercher à me rendre heureuse comme moi je le fait pour toi, les choses seraient différentes. C'est ça que t'as pas encore compris. Tu crois vraiment que je mettrai à pleurer si tu me faisais passer avant toi ? Ou que tu respectais réellement tes engagements ? Tu penses que je ne serai pas plus sereine si tu m'avais toujours prouvé que je pouvais te faire confiance ? La réponse est non. Donc maintenant, c'est à toi de te remettre en question. Je ne suis pas parfaite, loin de là, je suis bourrée de défauts et je le reconnais. Mais en ce qui te concerne, je pense avoir toujours fait mon maximum pour t'embellir la vie, que ça marche ou non. Réfléchis à ça, prends au moins quelques minutes pour y penser. Penser aux moindres petites choses que j'ai pu faire pour toi, et comment, parfois, tu ne m'as vraiment pas remercié.
Le bonheur...
"Le secret du bonheur est de faire ce que tu aimes. Le secret de la réussite est d’aimer ce que tu fais."
La vie...
Car j'ai compris, que l'important c'est ce qu'il y a dans le cœur.
mercredi 5 mars 2014
Le top 10 des pays où il fait bon vivre
Nous avons demandé à Sylvain du blog www.voyageautourdumonde.fr, spécialiste des tours du monde et des voyages en tout genre de nous donner la liste des 10 destinations dans lesquelles il se verrait bien vivre. Voici sa réponse !
1. L’AUSTRALIE
Ce pays immense (14 fois la France) fait rêver. Il est extrêmement varié et offre une excellente qualité de vie. Un vrai paradis pour les amateurs de sports nautiques comme le surf ou la plongée.
Les plus :
- Un climat agréable toute l’année
- La facilité à parler la langue du pays
- La proximité de la mer
- Une économie en pleine forme
- Des gens super accueillants
- La culture du sport
Les moins :
- La vie est relativement chère
- Certains Australiens peuvent paraître un peu trop nationalistes
- Le manque d’activité culturelle
2. L’ARGENTINE
Le pays de Maradona et du Tango offre une culture attachante. On y retrouve l’esprit méditerranéen avec une touche particulière et, en plus, des paysages à couper le souffle.
Les plus :
- La facilité à parler la langue du pays
- Une culture riche
- La facilité à sympathiser avec les locaux
- Un climat agréable
- Des paysages magnifiques
Les moins :
- Une culture assez macho
- L’économie n’est pas florissante
3. LA NOUVELLE ZÉLANDE
Le pays où a été tourné Le Seigneur des Anneaux convient parfaitement aux amoureux de la nature.
Les plus :
- Une nature sauvage
- Des gens très accueillants
- La facilité à parler la langue du pays
- Une économie florissante
Les moins :
- L’éloignement des autres pays
- La taille du pays
- Un climat rude l’hiver
4. L’INDONÉSIE
Ce pays est connu avant tout pour Bali, où les amoureux viennent passer leur lune de miel et où les Australiens viennent faire la fête. Mais L’Indonésie offre beaucoup plus dès qu’on sort de Bali.
Les plus :
- Des gens très accueillants
- Le Bahasa Indonesia est assez facile à apprendre
- Des paysages varié et superbes
- Un climat agréable toute l’année
Les moins :
- Le niveau de vie est assez bas
- La pollution dans les grandes villes
5. SINGAPOUR
La ville Etat, offre un cadre de vie agréable. C’est un des lieux les plus multiculturels du monde.
Les plus :
- Le climat agréable
- Une économie est très bonne santé
- Le cadre de vie
- Presque tout le monde parle anglais
Les moins :
- Le coût de la vie
- Les règles strictes omniprésentes
6. L’ESPAGNE
Nos voisins du sud ont été touché de plein fouet par la crise mais la vie y reste très agréable.
Les plus :
- Une culture riche
- La proximité avec la France
- Un climat agréable
Les moins :
- L’économie encore fragile
- Peu dépaysant par rapport à la France
7. THAÏLANDE
C’est l’un des meilleurs pays au monde pour la gastronomie. Il offre aussi des plages magnifiques.
Les plus :
- La gastronomie
- Le climat agréable
- Des plages magnifiques
- Des gens toujours souriants
Les moins :
- La barrière de la langue
- Le tourisme sexuel
8. CHILI
Cette fine bande de terre de plus de 4 000 km de long offre une variété de paysages et de climats impressionnante.
Les plus :
- La facilité à parler la langue du pays
- Une culture riche
- La facilité à sympathiser avec les locaux
- Un climat agréable
- Des paysages magnifiques
Les moins :
- Très éloigné de la France
- Une culture assez macho
- L’économie n’est pas florissante
9. L’ITALIE
Egalement touché par la crise, l’Italie reste le pays de la Dolce Vita auquel il est impossible de rester insensible.
Les plus :
- Une culture riche
- La proximité avec la France
- Un climat agréable
Les moins :
- L’économie encore fragile
- Peu dépaysant par rapport à la France
10. L’ANGLETERRE
Ce n’est forcement le premier pays qui viendrait à l’esprit mais j’ai adoré les deux années que j’ai passé à Londres.
Les plus :
- L’humour anglais
- La culture alternative
- L’ambiance de travail
- La proximité avec la France
Les moins :
- Le climat
- Le côté un peu bouru de certains anglais
Source : www.voyagerloin.com
Et vous, quels sont les pays où vous aimeriez bien aller vivre ?
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